Il est jeune. Il parle des « vraies affaires » et s’intéresse au « vrai monde ». Et à Québec, il chamboule un peu le paysage électoral en tentant de doubler par la droite le maire sortant Régis Labeaume. Entrevue avec Jean-François Gosselin, chef de Québec 21.
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Crise financière, Panama Papers et scandale de pédophilie : la droite islandaise se trouve plus divisée que jamais à l’approche des élections du 28 octobre, rapporte Reykjavik Grapevine.
« Je ne m’abaisserai pas à de telles frivolités. » Voilà ce qu’a lancé mercredi le secrétaire d’État américain Rex Tillerson. Le chef de la diplomatie américaine avait convoqué la presse à la dernière minute à la Maison-Blanche, sans ajouter l’événement à l’horaire officiel, alimentant les rumeurs sur une possible démission.
À Québec, il y a Régis. Et il y a les autres. Mais alors que s’engage le sprint en vue des élections municipales du 5 novembre, la cheffe de Démocratie Québec, Anne Guérette, entend bien mettre fin au règne du maire Labeaume, entre autres en redonnant la parole aux citoyens.
Le président de l’Espagne, Mariano Rajoy est prêt à employer la force, mais n’a pas le courage d’autoriser le référendum. Cette posture absurde gagne les Catalans pour le « non » qui se font un devoir de bien traiter les forces policières, rapporte El Mundo le 27 septembre.
La plateforme québécoise de sociofinancement La Ruche annonce avoir franchi la barre des deux millions de dollars versés par les internautes. Selon l’entreprise, cet enthousiasme témoigne du sérieux du financement participatif comme méthode commerciale au Québec.
Si les indépendantistes catalans rendent les autres gouvernements témoin de l’état d’exception subi en Catalogne selon La Vanguardia du 23 septembre, les autorités d’Écosse et du Pays de Galles réclament plus d’assurances post-Brexit au Royaume-Uni, d’après Reuters le 20 septembre.
À la suite de la détention de 14 organisateurs du référendum « illégal » sur l’indépendance de la Catalogne, son président, Carles Puigdemont a rétorqué en ondes au président de l’Espagne, Mariano Rajoy. Le vote aura lieu comme prévu le 1er octobre, rapporte La Vanguardia le 21 septembre.
À la suite du scandale, le parti Bright Future a quitté et rompu la coalition au pouvoir en Islande. Le président Guðni Thorlacius Jóhannesson a fixé une date pour de nouvelles élections. Si l’Independence Party a perdu 6% des intentions de vote, les Pirates mettent de l’avant le projet de nouvelle constitution, d’après Reykjavik Grapevine.
Plus de 40 millions de personnes dans le monde se trouvaient l’an dernier soumises à une forme d’esclavage moderne, c’est-à-dire en situation de travail forcé ou de mariage contraint.