C’est une course à deux entre deux septuagénaires: après une défaite cinglante lors des premières étapes des primaires démocrates et un rebond convaincant en Caroline du Sud, où il a largement dominé ses adversaires, l’ex-président américain Joe Biden est ressorti vainqueur du « super mardi », en prenant la tête dans la course aux délégués en vue de l’investiture pour affronter Donald Trump. Son adversaire, Bernie Sanders, est toutefois loin d’être battu. Quant aux autres concurrents, ils n’ont plus aucune chance de l’emporter.
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La victoire est indéniable: le sénateur du Vermont, Bernie Sanders, a aisément remporté les caucus du Nevada, samedi, confirmant sa lancée entamée pratiquement depuis les débuts du processus électoral en vue de l’investiture démocrate. Ses adversaires – et surtout Joe Biden –, n’ont toutefois certainement pas dit leur dernier mot, et les attaques pourraient maintenant viser le politicien « socialiste ».
Twitter préparerait une nouvelle politique en vue des élections américaines de novembre, pour ajouter des étiquettes de couleur sous des messages affichant des informations mensongères ou de la désinformation, selon des reportages qui ont circulé vendredi.
Le multimilliardaire Michael Bloomberg, ancien maire de New York et candidat déclaré sur le tard à la course à l’investiture démocrate en vue de la présidentielle de novembre, aux États-Unis, a été la cible de bien des attaques, mercredi soir au Nevada, lors de sa première participation à un débat électoral.
Les jeux sont-ils faits pour Joe Biden? L’ex-vice-président a de nouveau mordu la poussière, mardi soir, dans le cadre des primaires du New Hampshire, après de premiers résultats décevants lors des caucus de l’Iowa. L’un de ses principaux adversaires, Bernie Sanders, a lui terminé en tête dans le « Granite State ». « C’est le début de la fin pour Donald Trump », a clamé le sénateur socialiste du Vermont.
À quelques heures du lancement des premières étapes des primaires démocrates pour désigner un candidat en vue de la présidentielle de novembre – des premières étapes sous la forme des caucus de l’Iowa, les électeurs démocrates se disent particulièrement enthousiastes à propos du processus électoral. Selon un coup de sonde du Pew Research Center, toutefois, ils sont encore loin de s’entendre sur l’identité de la personne qui affrontera Donald Trump.
À 11 mois de l’élection présidentielle américaine, les électeurs des deux principaux partis seront progressivement appelés à resserrer les rangs derrière leur candidat préféré. Et pour ce faire, ils s’appuieront sur des informations transmises par des médias. Selon un nouveau coup de sonde, cependant, la réputation des médias en question variera largement… en fonction de la couleur de la formation politique.
À un peu plus de deux semaines du premier test électoral pour les candidats à l’investiture démocrate pour la présidentielle de novembre prochain, tout peut encore arriver, mais il faudra que les candidats qui traînent de la patte derrière les deux favoris, l’ex-vice-président Joe Biden et le sénateur du Vermont Bernie Sanders, mettent les bouchées doubles, révèle une nouvelle analyse de The Economist.
Le président américain Donald Trump a tenté, « pendant plusieurs mois », « d’utiliser les pouvoirs liés à sa fonction pour solliciter de l’interférence étrangère à son avantage, en vue de l’élection présidentielle de 2020 ». Voilà le verdict sans appel d’un rapport publié mardi par le comité sur le renseignement de la Chambre des représentants.
Les craintes par rapport à la fraude électorale se sont multipliées chez nos voisins du sud, ces dernières années, particulièrement après que des responsables fédéraux américains eurent révélé que des pirates russes avaient tenté d’accéder aux listes électorales dans le cadre de la présidentielle de 2016. La technologie pourrait cependant venir en renfort pour protéger l’intégrité du processus démocratique.