Ceux pour qui le GIEC serait à la solde de gouvernements vendus à « l’idéologie » du réchauffement climatique vont avoir du mal à expliquer celle-là : après avoir commandé au GIEC un rapport sur les impacts qu’aurait un réchauffement d’un degré Celsius et demi, des pays membres ont refusé d’endosser le rapport.
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Soixante-dix pour cent des infrastructures actuelles des régions arctiques risquent fort d’être affectées par la…
La« COP24 », ou 24e conférence annuelle sur les changements climatiques, s’est ouverte lundi et se poursuit pendant deux semaines à Katowice, en Pologne. Pour s’y retrouver un peu,survol du vocabulaire très particulier de ces rencontres qui remontent aux années 1990.
« Il fait froid: ne me faites pas rire avec vos histoires de réchauffement climatique ». Sous diverses variantes, cette prise de position est lancée avec la régularité d’une horloge chaque fois que tombe une nouvelle vague de froid.
C’est l’un des plus importants rapports sur le climat qu’ait produit le gouvernement américain, depuis plusieurs années. Mais ce gouvernement a choisi de le publier pendant l’un des plus importants congés fériés de l’année aux États-Unis. Comme s’il avait voulu lui assurer le moins de visibilité possible.
Si on entend régulièrement parler de l’augmentation de la température moyenne de la planète, et du fameux seuil des « deux degrés Celsius », on entend beaucoup moins parler d’un autre seuil, de son petit nom « PPM ». Une mesure qui, de surcroît, est beaucoup plus facile à comprendre que celle des deux degrés, parce qu’elle, elle augmente d’au moins une unité par année.
L’élection le 28 octobre du nouveau président du Brésil, Jair Bolsonaro et de son parti de droite — souvent qualifié d’extrême-droite — inquiète, entre autres, les défenseurs de l’Amazonie. D’autant qu’avant même son élection, on a commencé à mesurer un « effet Bolsonaro ».
Ce n’est pas au début des années 1980, ni à la fin des années 1970, ni à la fin des années 1960, mais au milieu des années 1950 qu’au sein des compagnies pétrolières, la sonnette d’alarme sur les risques des changements climatiques a commencé à sonner.
Les changements climatiques pourraient représenter une menace pour la fertilité masculine, selon une nouvelle étude en provenance de l’Université d’East Anglia.
Le constat semblait sans appel la semaine dernière: « la Terre a perdu 60% de ses animaux sauvages en 44 ans », a-t-on pu lire dans de nombreux médias. Pourtant, quand on lit le rapport qui a inspiré cette manchette, des nuances s’imposent, découvre sans surprise le Détecteur de rumeurs.