Pour la journée internationale des marionnettes, célébrée chaque année le 21 mars – mais le spectacle mérite d’être vu n’importe quel autre jour… – Conte du littoral, proposé au beau théâtre de L’Illusion, plonge le spectateur dans l’imagination de l’écrivain et les créatures fantastiques qui en émergent.
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Sur les planches du Théâtre Denise-Pelletier, Orgueil et préjugés représente une bonne dose de fraîcheur. Une dose de joie et de plaisir qui éclaire une époque hélas particulièrement assombrie. Profitons donc de l’instant présent et, à défaut de régler les problèmes qui nous accablent, rêvons d’une certaine uchronie où des femmes aussi intelligentes que belles peuvent échapper aux carcans sociaux de l’époque victorienne, le temps d’une soirée.
Oeuvre bigarrée, oeuvre portée par des gens passionnés, mais aussi oeuvre qui semble parfois s’essouffler, Pleurs demeure une étape importante pour ces comédiens et comédiennes qui sont certainement appelés à fouler de nouveau les planches d’ici lors des prochaines années.
Mal adapté, parfois fort mal joué, trop long pour son propre bien, Le sonde d’une nuit d’été, tel que présenté sur les planches du Rideau vert, tient beaucoup plus de la farce grossière que de l’oeuvre finement ciselée. Quel dommage…
Le sujet aurait pu être lourd, ou le ton moralisateur, mais il n’en est rien. Il est en fait traité avec humour, avec des personnages adolescents qui parlent comme des adolescents; on s’amuse malgré la détresse des personnages.
Intéressés par les multiples tendances des arts de la scène, dont le théâtre expérimental, Fanny Britt et Manu Soleymanu signent Classique(s), une pièce proposée au TNM, qui s’interroge sur ce qu’est une œuvre classique.
Ici par hasard fait les choses différemment. À un point tel, en fait, qu’on ne voit peu ou pas passer les 105 minutes de cette pièce. Une fois les lumières rallumées, on sera fort satisfait d’avoir fait travailler ses méninges, mais aussi ses zygomatiques. Une oeuvre à voir.
Dans le cadre du 20e festival Les Casteliers, on nous propose le récit autobiographique de Mélanie Baillairgé sur le thème de l’eau, récit sollicité par Amélie Poirier, sa compagne de création.
La RTA permet de découvrir des oeuvres colorées, bigarrées, qui permettront, à coup sûr, aux jeunes de se retrouver dans la peau de ces divers personnages qui sont confrontés, eux aussi, à une bien drôle d’époque.
Constellée de moments fort bien choisis et interprétés, Créatures est une oeuvre plombée par un certain laissez-aller, un flou artistique, certes, mais surtout, ultimement, passablement ennuyant. C’est bien dommage…