Oui, la formule est un peu connue, après tant d’années, mais Skinny prouve malgré tout que Jim Gaffigan a encore quelque chose à dire. Et, de façon encore plus importante, il a toujours la capacité de nous faire rire en le faisant. À voir, donc, sur Disney+.
Browsing: Culturel
Dure, angoissante, voire particulièrement anxiogène, surtout dans la foulée de la réélection de Donald Trump, dont l’opportunisme religieux n’a d’égal que sa tendance à vouloir pourtant ressembler aux marchands du Temple, Clandestines a des allures de brûlot qui prend aux tripes.
Tour à tour hilarant, en plus d’être sincèrement touchant lorsque nécessaire, Les barbares est un film grand public risqué, mais qui tire admirablement bien son épingle du jeu. Fait avec soin, mais surtout avec coeur, on en ressort revigorés, amusés et avec une envie de s’ouvrir plus que jamais à l’autre.
Trente ans après sa sortie, ce film réalisé et coscénarisé par Patrice Chérault crève toujours l’écran. Chloé Baril et Hugo Prévost discutent de ce chef-d’oeuvre indémodable.
Dans un décor théâtral simple, mais efficace, grâce à des projections et des effets visuels dont certains sont d’une très grande qualité, le spectacle s’attelle à montrer les aspects simples et pacifiques de la culture innue.
Même s’il est amusant et qu’il honore le film original comme il se doit, Beetlejuice Beetlejuice mise un peu trop sur la nostalgie, et au final, on ne peut que conclure que, malgré quelques bons moments, cette suite n’était ni vraiment nécessaire, ni indispensable.
Cette montagne russe d’émotions et de flamboyance a cette qualité rare de bien nous divertir et de s’avoir comment s’y prendre, d’impressionner et, principalement durant les derniers instants de l’inévitable et bouleversante Defying Gravity, nous faire frissonner.
Maria est un film qui célèbre, qui enchante, lumineux au possible, continuellement soigné, visuellement riche et magnifique, musicalement ensorcelant, comme l’offre, sous forme d’un cadeau, d’une voix qu’on n’est pas prêt d’oublier.
Malgré certaines longueurs et quelques aspérités, le Hamlet d’Ambroise Thomas est une très bonne façon de varier nos plaisirs tout en renouant avec l’un des grands classiques du maître du théâtre dramatique. Une production fort bien réussie qui nous rappelle que l’amour peut encore mener au bonheur, mais aussi à la folie et à la mort…
Dans un chatoiement de couleurs, accompagnés de sculptures de masques et d’animaux ainsi que de projections vidéos, cinq artistes danseurs et chanteurs sur scène, quatre femmes et un homme, tous de la famille de Margaret Harris, offrent des performances chantées et dansées spectaculaires.