« Plutôt que d’avoir des centaines de choix, il ne pourrait y en avoir que deux ou trois, ce qui faciliterait le processus de choix de la musique qui plaira aux mélomanes. »
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Pour le dernier concert de sa saison, l’Orchestre classique de Montréal en amis plein les oreilles à ses fans. De quoi donner hâte à la prochaine saison.
Tour de force musical qui gagne en puissance à chaque écoute, PetroDragonic Apocalypse prouve que King Gizzard and the Lizard Wizard continue de gagner en maturité et en capacités mélodiques. Un album coup-de-poing qui appuie bien fort là où ça fait mal.
Il aurait été possible de classer cet album avec toutes les autres propositions pop provenant de la sphère musicale québécoise – et elles sont nombreuses. Mais agir de la sorte aurait été une grave erreur: ce nouveau disque de Viviane Audet est non seulement douloureusement beau, il est incontournable.
S’il y a quelqu’un qui a semblé s’amuser durant plus de deux heures, c’est surtout le chef Mathias Maute. Son plaisir était évident tout autant que sa connaissance de l’œuvre.
Si on aime les prestations un peu superficielles et qu’on a envie de réentendre les grands et très grands succès de Brel, c’est au spectacle d’Olivier Laurent qu’il faut aller.
« Ce que j’aime dans Brel, c’est qu’il y a des moments d’émotion, mais aussi des textes tellement puissants qui racontent des choses toujours actuelles, aujourd’hui. »
Ce disque permet de constater qu’il existe bel et bien une façon (un peu) différente de raconter une grande histoire, le tout sur fond de synthétiseurs, de néons et de combats contre les puissances maléfiques peuplant l’univers.
L’étude présente aussi des conclusions qui suscitent des inquiétudes en ce qui concerne de possibles violations éthiques de la notion de copie directe lorsqu’il est question des méthodes d’apprentissage profond.
Ce qu’on retiendra surtout de cette soirée ce sont les prestations dans les deux rôles principaux et la rafraichissante surprise offerte par Sydney Baedke en Musetta. Dès son entrée en scène, cette dernière a tout balayé, tout emporté : on ne voyait plus qu’elle.