Selon les auteurs de l’étude, cette tendance vers des paroles plus simples pourrait refléter des changements dans la façon de consommer de la musique, comme le fait de faire jouer davantage de la musique comme fond sonore.
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Si toutes les prestations musicales valaient la peine d’être entendues, certaines sortaient du lot. D’entrée de jeu, les pianistes Godin et McMahon ont réjoui nos oreilles par leur interprétation joyeuse et céleste de l’Introduction, variations et finale, pour piano à quatre mains, D 968a, de Franz Schubert.
Très rythmées, entrainantes et joyeuses, les mélodies sont en même temps mélancoliques et marquées par une grande tristesse.
Pour conclure ce bien beau programme, la Suite no 2 en si mineur, BWV 1067, a été l’occasion parfaite pour l’ensemble des musiciens de démontrer à quel point Bach savait adopter d’autres genres que celui de la musique allemande et pour nous faire entendre toute sa sonorité.
La prestation unique de Searching For Goya réserve une expérience digne des scènes new-yorkaises que la compagnie connaît bien. « Il faut venir à notre rencontre, au nom de la passion de vivre, de la compassion et de l’humanité. »
Si l’archet magique de Julie Triquet était bien au rendez-vous, mentionnons aussi la généreuse et bien sentie prestation de Jonathan Goldman, au bandonéon.
Bien entendu, quatre titres, c’est peu, mais c’est tout de même suffisant pour indiquer que Cynthia Veilleux en a dans le ventre. Une preuve irréfutable qu’elle fait partie de ces artistes à surveiller, celles qui font cavalier seul pour s’imposer comme référence de la chanson à texte.
Il ne fait aucun doute que The Silver Cord fait partie des disques les plus aboutis, les plus complets du groupe. Création musicale aussi difficile à saisir que rocambolesque, cet album est à classer parmi ceux qui finissent par essouffler les mélomanes, tant ils sont exigeants.
L’OSM a joué Mozart comme on joue habituellement Beethoven et, croyez-moi, c’est un compliment. C’était tout à fait rafraîchissant d’être surpris par des forte joués fortissimo sans pour autant que le public soit assourdi.
Les ventes de vinyles, elles, surfent sur une vague qui ne semble pas près de s’arrêter. L’an dernier, il était donc question d’une croissance de 3 % par rapport à 2021. Au total, les vinyles représentent environ le quart des ventes d’albums physique, « du jamais vu en 20 ans », mentionne l’ISQ.