Difficile d’ignorer le lancement très attendu de l’album Scavenger de Kroy vendredi dernier à la galerie Artgang de la rue St-Hubert. Le projet solo de Camille Poliquin, alias moitié du duo Milk & Bone, n’avait pas besoin de présentation pour enflammer les attentes du petit gratin artistique montréalais.
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Samedi soir, à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des arts, avait lieu la première de l’opéra Aïda, du compositeur Giuseppe Verdi. Le Chœur de l’Opéra de Montréal et l’Orchestre Métropolitain étaient sous la direction de Paul Nadler qui a déjà dirigé plusieurs productions avec l’Opéra et dont la dernière était Turandot, en 2014.
La saison 2016-2017 de l’Orchestre symphonique de Montréal était lancée la semaine dernière avec un programme qui ne pouvait que faire salle comble.
L’OFF festival de jazz de Montréal présente sa 17e édition du 6 au 15 octobre dans six lieux mythiques de la ville. La programmation a été révélée le 7 septembre à la suite d’une courte prestation d’un duo jazz.
Difficile de trouver, dans notre paysage musical, un groupe plus tendre et délicat que les toujours invitants Avec pas d’casque. Entre les soirs de pluie et les journées enneigées, sans oublier les nuitées au coin du feu et les siestes à l’ombre, la musique de ce groupe folk qui se savoure constamment comme la plus belle des caresses n’a pas besoin d’excuses pour nous enchanter les oreilles à tout coup. Effets spéciaux, leur plus récente offrande, en est encore une douce représentation. « Le temps nous égratigne de toute façon ».
Du 20 au 27 août derniers, pour la troisième année, Concerts Ahuntsic en Fugue offrait aux mélomanes, une série de quatre concerts qui se déroulaient dans différents lieux du quartier Ahuntsic. De la musique française à la musique classique russe, en passant par la période baroque, ces présentations variées permettent aux auditeurs de faire connaissance avec une majorité d’interprètes d’ici.
Des dizaines de grands noms de la musique ont signé une pétition demandant au Congrès américain de réformer le Digital Millenium Copyright Act (DMCA), qui réglemente la circulation des oeuvres protégées par copyright.
Sous un ciel lourd et que l’on espérait menaçant, la Maison symphonique accueillait mercredi soir les musiciens de l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) pour l’ultime concert du calendrier régulier, le War Requiem de Benjamin Britten.
Drame déchirant de deux amours inavouables et controversés, celui à sens unique de Monseigneur Bilodeau pour Simon et celui, partagé, de Simon pour Vallier, et série de bouleversements, c’est ainsi qu’on pourrait résumer dans le plus strict essentiel Les Feluettes. Trente ans après sa création, la pièce de Michel-Marc Bouchard s’invite à l’opéra, arène idéale où le tragique peut se jouer. Et du tragique (feux, peines, larmes, passions, déclarations d’amour, déchirements, trahisons, mensonges, etc.), l’œuvre en regorge.
Difficile d’affirmer qui était le plus virtuose entre le chef d’orchestre russe Vasily Petrenko et le pianiste français Jean-Yves Thibaudet. Une chose est certaine, il y a de ces duos qui sont plus que complices; ils sont gagnants. C’était le cas mercredi à la Maison symphonique, alors que l’OSM livra une époustouflante prestation franco-russe digne des plus grands concerts du répertoire classique.