L’essai ne se veut certainement pas un résumé de l’ensemble des discussions sur le fonctionnement de ce pays, ni un survol complet de ses avantages et inconvénients, mais représente une porte d’entrée franchement intéressante vers ce monde à la fois si différent et si similaire au nôtre.
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J’ai personnellement adoré The Ex-People, une bande dessinée en deux tomes qui, derrière son apparente légèreté, constitue une dissertation philosophique et théologique sur la vie, la mort, et tout ce qu’il y a entre les deux.
Rempli de mystère et de poésie, Le Visage de Pavil parvient à captiver le lecteur dès les premières pages grâce à son monde unique, et se laisse dévorer jusqu’à la fin. On peut parler d’une vraie réussite de la part de Jeremy Perrodeau, et d’une bande dessinée qui mérite définitivement d’être découverte.
La maison d’édition Les Requins Marteaux aime publier des bandes dessinées iconoclastes et décalées, et c’est encore le cas avec Bottleneck, l’un des albums les plus étranges depuis longtemps.
C’est effectivement le bédéiste bien connu pour sa série Les Nombrils qui a repris le flambeau du célèbre personnage d’André Franquin, et pour en apprendre davantage sur ce nouvel album fort attendu, Pieuvre.ca a eu le plaisir de s’entretenir avec lui.
Astérix et sa bande ont fait vibrer des générations de lecteur petits et grands depuis les années 1960, et c’est un grand plaisir de constater que l’esprit de la série est toujours bien vivant dans L’iris blanc. Il s’agit d’un album très réussi, que les amateurs de bandes dessinées seront heureux de retrouver sous le sapin.
Peu d’entre nous auront un jour la chance d’aller au Labrador et au Nunavut. Voilà pourquoi Inuit, qui nous propose de voyager virtuellement sur ce territoire éloigné aux côtés d’Edmond Baudoin et de Jean-Marc Troubs, constitue une lecture essentielle pour apprendre à mieux connaître ce peuple attachant et sa riche culture.
Avec ce roman, nous sommes devant un exercice de style qui comprend moult jeux de mots, rimes et répétitions. Au début, on sent là une certaine fraîcheur, mais qui s’estompe bien avant qu’on atteigne la fin des 300 et quelques pages de l’ouvrage.
Avec Les enfants ne se laissaient pas faire, Joann Sfar livre un album intime au propos universel, qui incite à la réflexion sur les travers de nos sociétés modernes ainsi que sur les horreurs de la guerre, peu importe l’époque ou le pays où elle a cours.
Pieuvre a eu le plaisir de s’entretenir avec la créatrice de cette adaptation de la pièce la plus jouée du répertoire yiddish.