Avec Québec Rock: Offenbach vs Corbeau, Michel Giguère, Christian Quesnel et Félix Rose lèvent le voile sur un pan de l’histoire musicale québécoise malheureusement trop peu connu, dans un album très instructif qui plaira autant aux mélomanes qu’aux amateurs de beaux livres.
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S’ils ne représentent évidemment pas l’ensemble des points de vue, les témoignages contenus dans Amours féroces sont tous pertinents, intéressants, prenants… déprimants, parfois, ou encore réjouissants. Bref, à l’image de la condition de mère elle-même, cet essai est complexe, tout en nuances. Et un bon ajout à cette conversation éternelle.
La cinéaste-militante romancière, à qui l’on doit les œuvres La femme qui fuit (Marchand de feuilles, 2015) et Femme forêt (Marchand de feuilles, 2021), prend son souffle en plein élan de la littérature.
Dans cette histoire qui n’est pas sans résonnance avec le chaos sociopolitique actuel d’Haïti, Sofia Blondin s’abandonne au roman teinté de vaudou et de « réalisme magique ».
Pour en apprendre davantage sur cet album figurant parmi les finalistes du 10e Prix de la critique ACBD de la bande dessinée québécoise, Pieuvre a eu le privilège de s’entretenir avec son créateur.
« On assiste avec Terrasses à une poétisation du moment tragique, puis à l’apparition du « nous » qui raconte la réalité intime et le moment de la bascule dans l’horreur », affirme le metteur en scène Denis Marleau, qui signe l’adaptation de ce texte littéraire.
Rarement une œuvre mettant en vedette des animaux anthropomorphiques n’aura exploré la complexité des relations humaines avec autant de justesse que Dog biscuits, et grâce à son portrait d’une Amérique en plein bouleversement, cette bande dessinée iconoclaste fait bien plus que de simplement ressasser les mauvais souvenirs de la pandémie.
Franchement original, autant de par son contexte que par les réflexions que suscite l’oeuvre, A Murder of Crows on the Wall est un roman tout à fait intéressant qui a sa place dans toute bonne bibliothèque qui se respecte. Espérons que l’auteur trouvera rapidement un éditeur.
Loin du cadre formel universitaire, il a fallu apprendre à communiquer des idées pour un public non académique. « Ce n’est pas plus facile que d’écrire un gros article scientifique ». Il y a la volonté de rendre ça digeste sans trop simplifier et en le mettant en images.
Le tout premier numéro de La Flopée a rencontré un tel succès qu’une réimpression a été nécessaire afin de répondre à la demande. Pour en apprendre davantage sur ce projet, Pieuvre s’est entretenu avec Jonathan Boisvert, l’un des fondateurs du collectif.