Pour souligner la sortie d’une édition intégrale de cette trilogie, Pieuvre a eu l’occasion de s’entretenir avec ses deux créateurs.
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Moi, ce que j’aime, c’est les monstres – Livre deuxième n’est rien de moins qu’un chef-d’œuvre, tant du côté de son histoire que de ses illustrations, qui se complètent à la perfection. Tous les amateurs du neuvième art tomberont sous le charme de cet album, comptant parmi les romans graphiques les plus importants de la dernière décennie.
Au lieu de leurs vieux magazines, les urgences de tous les hôpitaux du Québec devraient avoir des copies des trois albums de Stat, non seulement pour agrémenter d’une bonne dose d’humour les interminables temps d’attente avant de voir un médecin, mais surtout pour aider les patients à mieux comprendre la réalité du personnel soignant.
Une nouvelle bande dessinée de Red Ketchup n’est rien de moins qu’un événement, et une fête pour ses nombreux fidèles. Même si l’absence de Pierre Fournier au scénario se fait sentir, les lecteurs de longue date seront définitivement charmés par ce retour que l’on n’attendait plus de l’agent choc du FBI.
Il ne se fait plus de bandes dessinées comme Sophie de nos jours, et c’est bien dommage. Si vous aimez les albums déjantés, autant au niveau du scénario que des illustrations, vous apprécierez cette œuvre atypique, et jouissive, de Carlos Sampayo et José Muñoz.
Avec ce premier tome, Franck Bonnet met la table pour une histoire de pirate sortant des sentiers battus, autant par son héroïne atypique que par son réalisme historique, et on a déjà hâte de reprendre la mer en compagnie d’Ann Bonny pour connaître la suite de ses aventures.
Avec Québec Rock: Offenbach vs Corbeau, Michel Giguère, Christian Quesnel et Félix Rose lèvent le voile sur un pan de l’histoire musicale québécoise malheureusement trop peu connu, dans un album très instructif qui plaira autant aux mélomanes qu’aux amateurs de beaux livres.
Pour en apprendre davantage sur cet album figurant parmi les finalistes du 10e Prix de la critique ACBD de la bande dessinée québécoise, Pieuvre a eu le privilège de s’entretenir avec son créateur.
Rarement une œuvre mettant en vedette des animaux anthropomorphiques n’aura exploré la complexité des relations humaines avec autant de justesse que Dog biscuits, et grâce à son portrait d’une Amérique en plein bouleversement, cette bande dessinée iconoclaste fait bien plus que de simplement ressasser les mauvais souvenirs de la pandémie.
Loin du cadre formel universitaire, il a fallu apprendre à communiquer des idées pour un public non académique. « Ce n’est pas plus facile que d’écrire un gros article scientifique ». Il y a la volonté de rendre ça digeste sans trop simplifier et en le mettant en images.