Stranizza d’amuri est donc un film important puisqu’il met en lumière un crime haineux et une réalité qui devrait être abolie à tout jamais. On regrette seulement qu’on ne va pas au fond de toutes les idées de l’oeuvre et qu’on montre une gêne qui vient contredire les propos du film pour en faire ressortir un long-métrage un peu conçu pour plaire, plutôt que satisfaire.
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Le paradis est donc un beau film, mais qui manque de finition et n’arrive pas entièrement à rendre justice au travail de recherche de son réalisateur. Comme la prémisse d’une série télé prometteuse qui mériterait d’être creusée plus loin pour y déceler toute la grâce de ses forces, ses secrets et sa magie.
Sur le fond, Marinette a tout pour rimer avec succès. Dans la forme, malheureusement, c’est plus oubliable.
Toni, en famille n’en demeure pas moins un feel-good movie brillant (souvent très drôle et très juste) et fort d’une lucidité riche à découvrir. Un long-métrage conçu avec un soin palpable qui nous fait passer, avec bonheur, par une large gamme d’émotions.
Hugo et Kevin discutent d’APRÈS-COUPS, réalisé par Romane Garant Chartrand, de CELLES QUI LUTTENT, de Sarah Baril Gaudet, et de MADEMOISELLE KENOPSIA, de Denis Côté.
Sucré seize demeure donc une hypnotisante proposition loin des conventions (comme notre cinéma ose difficilement se le permettre, malheureusement), casse-gueule en totalité, mais nécessaire de par sa bienveillance et son intérêt marqué pour la beauté de la jeunesse.
Le livre des solutions demeure malgré tout une proposition soignée et immensément divertissante, fort d’une signature des plus personnelles, mais qui manque de peaufinage pour l’élever.
Il ne faut d’ailleurs pas se méprendre: d’un point de vue cinématographique, Je verrai toujours vos visages n’est rien de moins qu’une œuvre immense, magistrale.
Sur la terre comme au ciel demeure néanmoins une proposition éclatante dans notre filmographie qui sait ravir, émouvoir et enchanter. Un long-métrage prometteur et imparfait qui mérite certainement l’attention et le détour, ne serait-ce que pour la lucidité (mais aussi la certaine naïveté) de ses ambitions.
À travers ce film tourné en secret et chronologiquement, en moins d’une semaine, se dévoile ainsi à nous et en nous une véritable pépite d’or qui nous divertit, fort heureusement, mais qui ne nous quitte plus une fois le visionnement terminé.