Sunset Circus est un spectacle joyeux et rafraichissant, qui, l’air de rien, donne beaucoup à admirer en matière de talent des artistes. On nous fait aussi rire, sans oublier de déclencher une réflexion sur ce qu’était le cirque, autrefois, et ce qu’il est devenu.
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À quelques jours de leur arrivée à Montréal, les maestros nagent en plein bonheur. Que réservent-ils à leur public outre-Atlantique? Un DJ set renouvelé, jamais exploré, comme à leur habitude. Et sûrement un clin d’œil à la culture musicale locale dont ils connaissent le label 7e Ciel et le rappeur Koriass.
C’est lors d’un lancement au Théâtre Fairmount que l’équipe a procédé au dévoilement de ce qui s’annonce, encore une fois, une expérience tout terrain, tout style musical.
Ce n’est pas tant la recherche d’une bonne version des faits qui est intéressante. Plutôt la confrontation avec des manières d’être dont on est issu quand on a changé de langue, de pays, de destinée.
Au cœur de la rose (Généalogie d’une tristesse), est une œuvre à voir qui mérite d’être reprogrammée, afin qu’elle puisse être appréciée du plus vaste public possible.
Performance qui sera aussi présentée dans le cadre du Festival TransAmériques, Nigamon/Tunai offre un regard fort intéressant sur des enjeux qui sont bien souvent occultés au nom du développement économique et de la modernité. Dommage, toutefois, que la structure du spectacle soit si bigarrée.
Griffe du festival, l’inédit le caractérise dans l’écosystème montréalais des événements culturels. On y met en lumière des textes en phase d’écriture, inachevés, pour le bonheur du public qui intercède dans sa gestation.
Ce que Roméo, Juliette, Thomas et les autres permet, en fait, c’est de redécouvrir cette oeuvre. Non pas de la voir comme un classique, voire comme un cliché, mais comme une transposition, à une période bien précise de notre histoire, d’une histoire d’amour intemporelle entre deux personnes que tout sépare. Une histoire d’amour qui se terminera en tragédie, certes, mais l’amour n’est-il pas toujours un peu triste, en un sens?
Film franchement intéressant, film particulièrement éclairant sur les problèmes contemporains qui affectent les villes d’ici et d’ailleurs, The Power of Utopia – Living with Le Corbusier in Chandigarh est un élément essentiel de la réflexion sur l’avenir des cités, à l’aune de la surpopulation et face aux impacts de la crise climatique.
Sur papier, Our Son a donc tout de la production prestigieuse. Dans les faits, puisqu’il se retrouve dans le créneau des films gays, ce qui est un peu absurde, on ne lui a certainement pas offert de traitement royal.