Présenté lors de la plus récente édition du Festival de Cannes où il aurait été accueilli avec une ovation, disons que le film Mal de pierres ne manque pas de prestige. Pourtant, de l’avoir choisi comme film d’ouverture, vu son impact plutôt ordinaire au bout du compte, en fait une décision singulière, autre le fait que ses scénaristes et sa réalisatrice soient là pour accompagner sa projection ce jeudi soir 3 novembre.
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Plusieurs films québécois et canadiens ont été à l’honneur durant la 45e édition du Festival du nouveau cinéma. Parmi eux, Stealing Alice, une première immersion de l’artiste Marc Séguin dans la sphère cinématographique, propose un univers à la fois froid, aérien et compassé.
Dans le cadre de son volet eXPlore, la cuvée 2016 du Festival du Nouveau Cinéma (FNC) trempe son gros orteil dans la réalité virtuelle, en plus de tenter le coup d’une expérience cinématographique interactive avec un large public.
Andrea Arnold a gagné le prix du jury à Cannes pour chacun de ses films présentés au festival, et ce n’est pas sans raison, puisque ses tranches de vie sont toujours magnifiques. Son plus récent long-métrage, la longue épopée qu’est American Honey, n’y fait pas exception.
Une édition du Festival Fantasia ne serait pas complète sans son film purement « japonais ». Le genre d’aventure cinématographique qui témoigne souvent du côté bizarre et déroutant de la culture nippone. Pour ce journaliste, la palme de ce type de divertissement revient cette année à Hentai Kamen 2 – The Abnormal Crisis.
Il y a quelques jours, le prolifique et indéfinissable réalisateur Takashi Miike a participé au Festival Fantasia afin de présenter deux de ses plus récents films, As the Gods Will et Terraformars. C’est devant une salle comble qu’il a fait connaître au public montréalais son thriller d’horreur fantastique, As the Gods Will, récit impitoyable et divertissant sur une quête dont on peine à deviner les tenants et les aboutissants.
Le futur proche. Du moins, c’est que l’on croit. Après tout, tout le monde a oublié. Une maladie faisant disparaître la mémoire à court terme frappe lorsque les humains s’endorment. Il en résulte Embers, un drame de science-fiction contemplatif présenté dans le cadre du festival Fantasia.
Richard Bates Jr est loin d’être le nom de cinéaste le plus connu, même si son passage dans les méandres du cinéma américain indépendant est loin d’être anonyme. Il est pourtant un fidèle habitué du festival Fantasia et c’est avec honneur et émotion qu’il est venu samedi dernier présenter son troisième long-métrage Trash Fire en compagnie de son actrice AnnaLynne McCord.
Il y a de ces films qui fonctionnent bien dans l’environnement particulier d’un festival de longs-métrages de genre. Et il y a de ces films qui, même projetés dans le cadre de ces festivals, ne font que témoigner du peu d’efforts investis dans leur création. Red Christmas, projeté au festival Fantasia, appartient hélas à la seconde catégorie.
Neil, un adolescent de 15 ans vivant au Texas, aime écrire de la fiction homoérotique mettant en vedette Vanguard, l’un de ses héros préférés. Si ce passe-temps est respecté dans certains coins du web, à l’école, c’est une autre paire de manches.