Se prendre, présentée dans le cadre du OFFTA, est une pièce pour appartement dans laquelle deux artistes-acrobates nous invitent à les regarder se rencontrer, de tâtonnements sensibles à rapprochements intimes.
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Entre tragédie et comédie, la condition humaine se réduit à quasi niente, rien ou presque. Devant le mutisme du monde et le non-sens de la vie, l’angoisse est souvent au rendez-vous. Avec Quasi Niente, présenté au Festival Transamériques, les deux artistes italiens Daria Deflorian et Antonio Tagliarini présentent une œuvre théâtrale inspirée, dédiée ou tout du moins qui se réfère au film d’Antonioni, Le désert rouge, dans lequel une femme manifeste son désarroi face à l’insurmontable difficulté de vivre et de se lier aux autres.
Elles sont quatre. Quatre femmes qui ont fracassé le plafond de verre, côtoyé les plus grands, mais surtout repensé la façon d’aménager les villes et de construire la métropole de demain. Après une projection dans le cadre des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM), voilà que Rêveuses de villes réapparaît sur les écrans au Festival international du film sur l’art (FIFA).
La culture arabe fascine, émeut, fait réfléchir, tant dans les pays musulmans qu’en sol occidental. Et dans le film Au temps où les Arabes dansaient, du réalisateur belgo-marocain Jawad Rhalib, la volonté des femmes, des artistes et de la jeunesse se heurte à des pans entiers de la société conditionnés par le fondamentalisme.
Difficile, de nos jours, de ne pas connaître l’oeuvre de Fernando Botero. L’artiste colombien, autant peintre que sculpteur, a fait le tour du monde avec ses personnages plus ronds que nature. Dans le cadre du Festival international du film sur l’art (FIFA), le réalisateur Don Millar trace un portrait tout en nuances de celui qui est possiblement le plus grand artiste vivant de notre époque.
Voilà deux siècles que Frankenstein, le célèbre roman de Mary Shelley, force l’humanité à confronté sa propre mortalité et ses rêves de vie éternelle. Dans le cadre du Festival international du film sur l’art (FIFA), le réalisateur français Jean Froment propose une fine analyse du phénomène littéraire, d’abord, mais aussi de l’impact de cette oeuvre immortelle sur la culture et la psyché humaines.
Après le cadre de l’ONF pour le cinéma direct, La course destination monde a donné la piqûre à un bon nombre de cinéastes québécois de la génération suivante. C’est le cas pour Danic Champoux qui a réalisé le documentaire La fille du cratère (2019) avec Nadine Beaudet et de Patrick Demers réalisateur de la fiction Origami (2017), deux films projetés aux Rendez-vous Québec Cinéma.
Qu’est-ce que la démocratie? Est-ce le droit de voter à tous les quatre ans pour élire un gouvernement? Est-ce la liberté économique? La justice pour tous? Ou est-ce autre chose? Dans le cadre des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM), la réalisatrice Astra Taylor tente de répondre à une question apparemment simple, mais qui est en fait excessivement complexe.
En 2013, des résidents de la Bande de Gaza annoncent une découverte archéologique majeure: une statue plus que millénaire du dieu Apollon, littéralement repêchée dans les eaux océaniques bordant le territoire enclavé. Pourtant, quelques semaines plus tard, l’oeuvre disparaît. Dans son documentaire L’Apollon de Gaza présenté dans le cadre des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM), le cinéaste Nicolas Wadimoff tente de résoudre ce mystère.
Ils sont fiers. Et leurs proches sont certainement fiers, eux aussi. Mais en observant les finissants d’une nouvelle fournée de militaires tout juste sortis du Collègue militaire royal de Saint-Jean, dans le documentaire Premières armes, présenté dans le cadre des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM), on ne peut s’empêcher d’éprouver davantage de fascination que de fierté.