L’argent, c’est mal. Mais en avoir toujours plus, c’est bien: voilà le précepte de Money, un remake de Wall Street à la sauce coréenne somme toute assez satisfaisant, qui est présenté dans le cadre du Festival Fantasia, à Montréal.
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Tordu à souhait et par le fait même indubitablement coréen, The Gangster, The Cop, The Devil, présenté dans le cadre du festival Fantasia, ne veut pas nécessairement réinventer les choses, mais il s’assure certainement de livrer la marchandise et de divertir son public avec brio.
Pour le 500e anniversaire (et des poussières) de la mort de Jérôme Bosch, le peintre sans doute le plus énigmatique de toute l’histoire de l’art, Les 7 doigts signent une plongée à la fois onirique, poétique, pédagogique, comique et un peu circassienne dans l’univers des tableaux du peintre hollandais. Le 10e festival Montréal complètement cirque est ouvert.
Du 4 au 14 juillet, Machine de cirque présente le spectacle La Galerie. À découvrir à la TOHU dans le cadre de Montréal complètement cirque.
Danièle Desnoyers et sa compagnie Le Carré des Lombes, créée en 1989, présente un spectacle de danse contemporaine saisissant à l’édifice Wilder, dans le cadre du Festival TransAmériques. Unfold / 7 perspectives est la performance de sept danseurs (quatre hommes et trois femmes) qui évoluent dans un espace très vaste avec, comme accessoires, de grandes tables basses qui « dansent » en même temps que les artistes.
Sur la rue Sainte-Catherine à Montréal, dans l’église anglicane St Jax transformée pour l’occasion en une scène de théâtre, une troupe de Toronto présente une œuvre intitulée Other Jesus.
Clara Furey, qui n’est plus à présenter sur les scènes montréalaises, joue sa nouvelle création, Rather a Ditch, au Festival TransAmériques (FTA).
Se prendre, présentée dans le cadre du OFFTA, est une pièce pour appartement dans laquelle deux artistes-acrobates nous invitent à les regarder se rencontrer, de tâtonnements sensibles à rapprochements intimes.
Entre tragédie et comédie, la condition humaine se réduit à quasi niente, rien ou presque. Devant le mutisme du monde et le non-sens de la vie, l’angoisse est souvent au rendez-vous. Avec Quasi Niente, présenté au Festival Transamériques, les deux artistes italiens Daria Deflorian et Antonio Tagliarini présentent une œuvre théâtrale inspirée, dédiée ou tout du moins qui se réfère au film d’Antonioni, Le désert rouge, dans lequel une femme manifeste son désarroi face à l’insurmontable difficulté de vivre et de se lier aux autres.
Elles sont quatre. Quatre femmes qui ont fracassé le plafond de verre, côtoyé les plus grands, mais surtout repensé la façon d’aménager les villes et de construire la métropole de demain. Après une projection dans le cadre des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM), voilà que Rêveuses de villes réapparaît sur les écrans au Festival international du film sur l’art (FIFA).