The Electric State peut ainsi faire passer le temps des cinéphiles les moins difficiles cherchant un divertissant particulièrement léger, mais on conseillera surtout de tout simplement passer son chemin et de se débrancher d’un tel supplice. Ce sera, en toute ironie, après tout la morale dégoulinante de la fin. Vous aurez été prévenus.
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L’oeuvre oscarisée dévoile le combat quotidien d’un groupe de Palestiniens vivant en Cisjordanie occupée, contre des forces israéliennes qui cherchent, petit à petit, à les expulser de leurs terres.
Black Bag, aussi prestigieux dans son contenant que son contenu soit-il, ne réinvente pas la roue, donc. Et si l’approche est plus chic et pince-sans-rire aux premiers abords, cette énième variation sur tous les Mr. & Mrs. Smith de ce monde divertit avec la plus grande aisance.
Il ne se fait malheureusement plus de grands films comme Amadeus de nos jours, et par sa qualité scénaristique et cinématographique, même ceux et celles qui n’ont aucun intérêt pour la musique classique risquent d’apprécier ce chef-d’œuvre de Milos Forman.
L’oeuvre s’inspire de l’oeuvre millénaire de Sei Shonagon pour raconter une histoire mêlant poésie, calligraphie, érotisme… et un jeune Ewan McGregor.
En environ 75 minutes, Stolen Kingdom nous rappelle que Disney World n’est pas un endroit plus « magique » qu’un autre, mais n’est en fait qu’une autre représentation du capitalisme bien souvent sauvage. Il est fascinant, en fait, de voir que des gens sont prêts à payer des fortunes pour des biens qui, en soit, n’ont que peu ou pas de valeur. Un clash particulièrement intéressant entre cette réalité et la curiosité parfois pure. À voir.
Opus plaît donc, mais ne satisfait que moyennement, son appréciation dépendant d’à quel point les spectateurs voudront s’abandonner à une proposition aussi déconcertante.
Le réalisateur Serge Giguère parvient à montrer l’homme derrière le hockeyeur. Celui qui aura été à la fois le symbole d’un peuple et simplement un « bon gars ».
Est-ce une bonne série? Pas vraiment: il s’agit largement de réchauffé. Face à des bijoux d’originalité comme Severance, on se demande si Disney a encore raison de suivre son long et complexe plan des différences phases de l’univers Marvel. Malgré tout, Born Again n’est pas catastrophique… simplement que l’on oubliera probablement le tout rapidement.
En brassant les cartes, le cinéaste Jérémie Battaglia offre un très beau documentaire avec Une jeunesse française, une oeuvre qui nous gardera rivés sur nos sièges jusqu’au bout.