Vaut-il mieux se lancer directement dans le journalisme indépendant, ou plutôt faire ses classes dans les médias mainstream? Et qu’en est-il de cette nécessité d’être « neutre » et « objectif » en ligne?
Browsing: Entretiens journalistiques
À quelques jours à peine du déclenchement des élections fédérales, les sondages, les tendances et autres prévisions visant à éclairer sur l’identité du parti qui formera le prochain gouvernement se multiplient. Pour y voir plus clair, Philippe J. Fournier, créateur de QC125 et de 338Canada, est l’invité du balado Entretiens journalistiques.
Il aura couvert les Expos, la guerre en Afghanistan et le jeu politique à Washington: Alexandre Panetta travaille aujourd’hui pour POLITICO Pro Canada, un service d’information sur les enjeux d’importance pour la société canadienne. Rencontre.
Avec une vingtaine d’années d’expérience comme journaliste à Radio-Canada, puis une décennie comme député, puis ministre du Parti québécois, Bernard Drainville a connu les longues heures, les débats d’idées et la volonté de changer les choses communes aux deux professions.
Trente! Trente épisodes, déjà, que Pieuvre.ca poursuit son exploration du métier de journaliste. Et cette semaine, Eric Engels, du réseau Sportsnet, nous fait découvrir le monde du journalisme sportif, et plus précisément de la couverture du hockey professionnel.
Depuis bientôt un quart de siècle, Pascal Lapointe fait la promotion de l’information scientifique en tant que rédacteur en chef de l’Agence Science-Presse. À une époque où les fausses nouvelles et la désinformation pullulent, son travail et celui de ses collègues est toujours plus essentiel pour éduquer le public et combattre les faussaires.
Sans surprise, le journalisme est un métier qui se déroule dans quantité de langues, y compris le français, mais aussi l’anglais. Voilà pourquoi, pour cet épisode spécial d’Entretiens journalistiques, l’animateur Hugo Prévost sort son plus bel anglais du dimanche pour accueillir son invitée, la journaliste indépendante Tracey Lindeman.
Le journalisme, c’est bien, mais pour que celui-ci trouve la matière nécessaire pour effectuer son travail, il doit souvent passer par un relationniste, que ce soit en politique, dans le domaine des affaires, ou encore en culture.
Pour sauver le journalisme de toutes les menaces qui rôdent, il faudra non seulement convaincre le public de payer pour obtenir une information de qualité, mais carrément convaincre ces personnes de vouloir simplement s’informer.
Plongé dans la tourmente depuis l’élection des conservateurs de Doug Ford, confronté à une réalité bilingue et à des enjeux à la fois similaires et différents de ceux des francophones du Québec, le journalisme ontarien dans la langue de Molière représente un défi qu’Étienne Fortin-Gauthier relève avec un plaisir contagieux.