La pandémie de COVID-19 provoque déjà un rebrassage des cartes géopolitiques, et accentuera la rivalité entre les grandes puissances, en plus d’accélérer le « transfert » de l’influence occidentale vers l’Orient. Voilà le constat des experts mandatés par le magazine The Economist, dans une analyse publiée cette semaine.
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Alors que le Québec et la France passent tranquillement en mode déconfinement, les scientifiques examinent les données d’un peu partout dans le monde afin de comparer les effets des mesures adoptées d’un pays à l’autre. L’exercice ne doit pas servir pour la prochaine épidémie, mais bien pour gérer l’actuelle crise.
Pour la première fois de l’histoire récente des États-Unis, la date de l’élection présidentielle américaine, prévue le 3 novembre, sera-t-elle reportée? Selon une enquête du Pew Research Center, la pandémie de coronavirus pourrait avoir un impact important sur la tenue de cet important processus politique. C’est du moins l’avis de 66% des personnes sondées, et une majorité des répondants proposent d’accroître la participation en favorisant le vote par la poste.
Alors que plusieurs États commencent un déconfinement progressif, comment éviter une 2e vague de l’épidémie? Une des solutions qui a circulé serait de fournir des « passeports d’immunité » aux personnes qui auraient déjà contracté la maladie, une chose qu’on pourrait en théorie déterminer grâce à des tests d’anticorps.
L’agence spatiale américaine, la NASA, n’attend certainement pas la fin de la pandémie, sur Terre, pour continuer de rêver de retourner sur la Lune, libre d’humains depuis un demi-siècle: l’organisation a dévoilé jeudi les noms des trois entreprises qui héritent de contrats de près d’un milliard de dollars américains pour concevoir des engins et des atterrisseurs pour retourner sur notre satellite naturel.
En poste sur la colline du Parlement, à Ottawa, Philippe-Vincent Foisy, correspondant parlementaire à Radio-Canada, arpente tous les jours les couloirs du pouvoir fédéral afin de trouver réponse à ses questions et informer le public.
La course au vaccin contre le nouveau coronavirus est entamée: il y aurait près de 78 vaccins actuellement en développement. Il faudrait apparemment attendre encore un an et demi dans le meilleur des scénarios, mais les chercheurs préviennent déjà qu’il pourrait être physiquement impossible de produire suffisamment de vaccins pour tout le monde.
Même après le décès, la COVID-19 continuerait de veiller, rapporte le Scientific American. Un premier cas d’infection post-mortem vient en effet d’être signalé. De quoi faire en sorte que les procédures de désinfection en usage dans les salles d’opération soient aussi appliquées dans les unités de pathologie et médicolégales.
Le petit fournisseur d’accès internet Teksavvy réclamait, il y a une semaine, que le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) agissent pour éviter que les petits joueurs du marché canadien du web ne soient forcés d’acheter de la bande passante à fort prix en temps de pandémie. Voilà que l’organisme fédéral répond… et appelle à la collaboration.
Le réchauffement climatique poussera de nombreuses espèces de plantes à migrer vers le nord. Mais ce sera difficile pour l’érable à sucre (Acer saccharum) en raison des propriétés spécifiques des sols accueillant cet arbre si familier aux Québécois. Cela risque de limiter son expansion en altitude, résume une récente étude québécoise.