Le concert de dimanche aura prouvé que Tangerine Dream peut effectivement continuer sans son fondateur. Cependant, il demeure que quelque chose s’est perdu en chemin.
Auteur/autrice : Xavier Proulx
C’est un superbe concert qu’il nous a été donné de voir mercredi dernier à la Maison Symphonique. Jumelant deux tempéraments musicaux distincts: l’un par le lyrisme du concerto pour piano no. 20 de Mozart, l’autre par la grâce infinie de l’œuvre de Debussy, ce concert demeurera probablement parmi l’un des plus mémorables pour les mélomanes montréalais.
Le duo de DJ français Bon Entendeur était de passage à l’Olympia ce vendredi lors d’une soirée incroyablement groovy dans un Montréal enneigé et prêt à se transformer en immense garden-party. Portrait de ces énergumènes qui renouvellent le savoir-faire français de la musique électronique.
L’Orchestre symphonique de Montréal vient tout juste de compléter une longue semaine consacrée à Franz Schubert. Ce festival récapitulait l’ensemble du répertoire de ce compositeur intronisé parmi les plus éminents de la musique classique. Chaque concert étudiait un thème particulier, de sa jeunesse, parfois plus obscure, jusqu’à la plupart des symphonies: « Inachevée », « La Grande » ou encore « tragique ». Un long marathon mené sous la baguette bientôt regrettée de Kent Nagano, dans lequel nous percevons la volonté du maestro de redonner aux mélomanes montréalais tout l’amour qui lui est porté par le public.
Les sorciers montréalais, petits et grands, avaient de quoi se réjouir vendredi et samedi derniers. La troupe Ciné-Concert était de retour à la Salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts afin de poursuivre leur interprétation de la bande sonore des films de la saga Harry Potter. Cette fois, nous avions droit au sixième opus, soit Harry Potter et le prince de sang mêlé. Comme à chaque fois, la salle était comble de sorciers et de moldus, dont certains étaient déguisés pour l’occasion.
Pour la cinquième fois, la troupe Ciné Concert était de passage à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts afin d’interpréter en direct la bande originale du film Harry Potter et l’Ordre du Phénix.
Il n’y avait rien d’habituel lors de la première soirée de la série de concerts de l’OSM qui débutait le 15 mai dernier. Tout d’abord, nous devions entendre le pianiste russe Daniil Trifonov – soit l’un des plus brillants jeunes artistes de sa génération – interpréter le troisième concerto de Rachmaninov. D’autre part, nous retrouvions pour la première fois la jeune chef d’orchestre Karina Canellakis à la direction de l’orchestre.
Pour la quatrième fois, la troupe Ciné Concert était de passage à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts. Vendredi et samedi soir dernier, on y présentait Harry Potter et la coupe de feu en concert symphonique, sous la baguette de la charismatique chef d’orchestre Sarah Hicks.
La confiance: c’est le sentiment qui a porté le spectacle inaugural amorçant la nouvelle tournée de Coeur de pirate hier à Montréal. Après dix ans de carrière, la chanteuse tatouée n’est plus une enfant.
La place des arts recevait vendredi soir une nouvelle visite du petit sorcier à lunettes et de sa bande dans le cadre d’un « ciné-orchestre » d’Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban. Devant un écran géant de 12 mètres, l’œuvre du compositeur John Williams prend vie devant nos yeux. La musique est interprétée en direct par un orchestre symphonique et un chœur; la piste audio du film lui-même ne contenant que le dialogue des acteurs.