Le premier mois de la nouvelle année a en effet été à 1,75 degré au-dessus de la moyenne des mois de janvier des années 1850 à 1900, battant le précédent record qui était de 1,7 degré —et ce record ne remontait qu’à janvier 2024.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Les villes seraient bien avisées « d’intégrer les impacts biologiques de ces variables dans leurs futures stratégies de gestion ».
Dans l’ensemble des agences gouvernementales — donc, au-delà de la santé — cela représente un minimum de 8000 pages qui sont disparues ces derniers jours.
Son avantage réside dans la rapidité avec laquelle les modèles peuvent suggérer aux humains des réponses que ceux-ci peuvent ensuite valider.
Les données scientifiques qui ont continué d’être récoltées sur les vaccins contre la COVID ces quatre dernières années montrent encore leur efficacité pour réduire les risques d’hospitalisation et de décès.
Une piste de solution suggérée par les auteurs aux compagnies qui gèrent les réseaux sociaux: implanter des avertissements lorsqu’une personne s’apprête à partager un contenu sur lequel elle n’a pas cliqué. Ce serait une façon de « diminuer les liens partageant de la désinformation ».
Un voyage habité vers Mars d’ici 2028 est très improbable, dans l’état actuel de la technologie. De plus, dans l’état actuel des budgets, pour qu’un tel voyage se produise dans un futur proche, il faudrait sacrifier les prochaines missions lunaires.
En extrapolant, le professeur d’océanographie Chris Merchant et ses collègues prédisent que ce taux de réchauffement va continuer d’augmenter rapidement dans les prochaines décennies, ce qui se traduirait par autant de réchauffement planétaire dans les 20 prochaines années que dans les 40 années précédentes.
À travers le monde, la tuberculose a tué près de 1,25 million de personnes en 2023, dont 95% dans les pays en voie de développement. Cela en a fait cette année-là la première cause de mortalité causée par une maladie infectieuse, surpassant la COVID pour la première fois depuis le début de la pandémie.
Ce type de bramements est produit le plus souvent par les futurs reproducteurs les plus massifs et les plus vocaux, après les combats très suivis par les femelles — ce qui suggère qu’il s’agit d’un tout, à la fois le physique et la voix.