Certaines caractéristiques de l’air marin pourraient bel et bien favoriser l’hydratation des voies respiratoires et améliorer les symptômes de certaines maladies, en particulier respiratoires. Cependant, on découvre depuis quelques années que l’air du bord de mer peut aussi contenir des contaminants dommageables pour la santé.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
C’est par une analyse d’ADN qu’on peut en théorie mettre une date. Et plus précisément une analyse d’ADN ciblant, dans différentes parties de l’arbre, les mutations somatiques, c’est-à-dire celles qui se produisent après la conception.
Mais ce n’est pas seulement une volonté d’éliminer les règlementations qui anime les auteurs du Projet 2025: c’est parfois une volonté de museler ceux qui sont en mesure de présenter des faits.
Il y a un refus affirmé de changer pour s’adapter à la transition écologique et aux impératifs du climat. « Cela reflète une anxiété identitaire par rapport au genre et à la crise climatique. La pétromasculinité est clairement une position d’opposition au changement social. »
Les auteurs du rapport évaluent que les émissions devraient être coupées de 54% en 2030 et de 72% en 2035. Ils reprochent aussi le fait que certains pays ont des cibles si basses qu’ils n’ont pas besoin de mettre en place de nouvelles politiques pour les atteindre.
Dans l’expérience dont il est question ici, des cellules souches tirées des tissus adipeux de cette femme ont été reprogrammées pour devenir des cellules capables de produire de l’insuline.
Le Règlement sur les services numériques (Digital Services Act), entré en vigueur en novembre 2022, oblige les plateformes à fournir un accès aux chercheurs pour certains projets. L’impact que cela aura est observé attentivement par des chercheurs des autres régions du monde, qui ne manquent pas d’idées pour tenter de mesurer les impacts de la désinformation et les retombées des pistes des solution esquissées ici et là.
Le projet, appelé Human Tumor Atlas Network, qui est depuis 2018 sous l’aile de l’Institut national du cancer des États-Unis, a analysé plus de 8000 « biospécimens » —par exemple, un tissu cancéreux prélevé chez un humain ou un animal— représentant plus de 2000 cas de cancers.
Si cette tendance se maintient, cela signifierait un total de 169 nouveaux millimètres de hausse du niveau des mers J’étadans 30 ans. Un tel taux, écrivent prudemment les chercheurs, « représenterait un défi croissant pour les efforts d’adaptation ».
Une étude similaire parue en mai aux États-Unis estimait le nombre de décès à 19 000 chaque année. Aucune des deux études n’a pris en considération les autres gaz potentiellement nocifs, comme le monoxyde de carbone (connu pour causer des maux de tête et des étourdissements) et le benzène, parce que ces deux-là ont fait l’objet de beaucoup moins d’études en épidémiologie, et que les données sont donc encore insuffisantes.