Le passé a été marqué, depuis les années 1970, par de très nombreuses tentatives pour détecter des « signes précurseurs » des séismes. Le problème a toujours été que ces signes précurseurs pouvaient rarement être distingués clairement du « bruit de fond » sismique normal.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
« Danger » et « risque » ne sont pas des synonymes, et la classification choisie par le CIRC peut entraîner une confusion. Bien qu’il soit évident qu’un produit qui figure dans la liste des produits cancérigènes est plus dangereux, le problème est de savoir à quel point il l’est.
Autrement dit, un chercheur qui est « né » anglophone part avec des longueurs d’avance sur un « non-anglophone », et rencontrera moins d’obstacles sur sa route.
Il faudra tôt ou tard découvrir de quoi est composée cette fameuse matière sombre, qu’on n’a été capable jusqu’ici que de mesurer indirectement, à travers son influence gravitationnelle.
L’autre bémol est qu’on ignore encore jusqu’où cette technologie permettra vraiment d’aller. On en a donc pour quelques années encore à continuer de défricher ce nouveau territoire avant de pouvoir vraiment en mesurer les limites.
« À l’échelle mondiale, la température moyenne de surface des océans a augmenté depuis l’ère pré-industrielle, et continue d’augmenter, alors que 90 % de la chaleur excédentaire associée au réchauffement climatique a été absorbée par les océans. »
Qu’un animal domestiqué observe « ses » humains n’étonnera plus les cultivateurs, et les lamas sont domestiqués en Amérique du sud depuis des milliers d’années.
La logique derrière l’augmentation de la consommation d’insectes n’est pas seulement qu’il s’agit d’une pratique courante ailleurs dans le monde. Elle est aussi environnementale.
Ces annonces surviennent dans un contexte où, guerre en Ukraine aidant, les profits des compagnies pétrolières ont atteint des niveaux jamais vus en 2022.
Une recherche parue dans la revue Science en 2018 avait associé des déchets de plastique à des maladies dans le récif. La raison: ces débris privent une partie du corail de lumière ou d’oxygène, ou peuvent contenir des toxines — trois facteurs propices au développement de microbes.