Dix ans plus tard, les projets de « cartographie » ou de « catalogage » des neurones sont à présent nombreux (dont un programme chinois lancé en 2021), au point où les scientifiques qui ont été activement impliqués dans le consortium européen craignent de se faire damer le pion.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
En grande quantité, cette protéine nuirait au fonctionnement des mitochondries, les structures produisant l’énergie nécessaire au fonctionnement de la cellule. Cela pourrait expliquer certains symptômes rapportés par les gens touchés par cette maladie, comme un épuisement extrême et une sensation de brouillard cérébrale.
Ces débats font parfois oublier que les modifications génétiques font partie intégrante des méthodes traditionnelles de sélection végétale employés par les agriculteurs.
Lorsque les chercheurs ont trafiqué le fil de publications de certains utilisateurs pendant une période de 3 mois afin de diversifier les contenus auxquels ils étaient exposés, aucun effet sur le degré de polarisation ou d’extrémisme idéologique n’a été observé.
L’échec de la mission Luna-25 s’inscrit dans une série de coups durs pour le programme spatial russe. Depuis la fin des années 1970, l’agence a dû composer avec une série de fusées qui explosent, une navette spatiale utilisée une seule fois et une mission vers Mars qui n’a jamais dépassé l’orbite terrestre, souligne-t-on dans un article du New Scientist.
Même si le jus de pomme de terre semble avoir, sur des cellules ou chez des animaux, quelques propriétés intéressantes, aucune étude n’a encore démontré de façon convaincante qu’il est bénéfique pour la santé.
C’est depuis le début des années 2000 que l’on connaît ce facteur de transcription IRF1 et son mécanisme de régulation au sein du système immunitaire.
Le trou au-dessus de l’Antarctique atteignait déjà une taille de 3 millions de kilomètres carrés le 10 août dernier alors qu’il demeure habituellement fermé jusqu’à la fin du mois.
Voyager 2 a quitté la Terre en 1977 pour explorer Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune. Elle est entrée dans l’espace interstellaire en 2018 et se trouve maintenant à 12,3 milliards de kilomètres de la Terre.
Des analyses d’ADN peuvent aider à établir d’où provenaient les peuples qui utilisaient ces langues alors que les données archéologiques permettent de mieux comprendre comment certaines technologies se sont propagées dans le monde et d’estimer ainsi les mouvements migratoires qui ont propagé ces langues en Europe et en Asie.