Si on ne peut pas affirmer qu’il s’agit d’un retour de la confiance, c’est néanmoins un changement « par rapport aux déclins » que « nous avions vus pendant la pandémie », résume dans le communiqué le chercheur principal, Alec Tyson.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Les « mesures » obtenues par les téléphones couvrent deux fois plus de « terrain » que celles des stations scientifiques vouées à la surveillance de l’ionosphère -pour la simple raison qu’il y a plus de régions où on trouve des téléphones.
Peu d’observateurs étrangers s’attendent de toutes façons à une grande liberté de parole en Azerbaïdjan. Reporters sans frontières le classe au 164e rang sur 180, dans son dernier Index de la liberté de presse.
Investissements ou pas, une chose semble claire alors que se déroule la COP29 : à court terme, ce n’est plus vers les États-Unis que le reste du monde regarde pour un leadership politique contre les changements climatiques.
Si les écologistes ne peuvent pas dire à quelle vitesse la nature sera capable de s’ajuster, en revanche, ce qui est certain, c’est que les hivers ne sont plus ce qu’ils étaient et que ça ne va pas s’améliorer.
La recherche s’est plutôt penchée, au cours des dernières décennies, sur les souris. Mais les cerveaux des chats montreraient des signes d’atrophie et de déclin cognitif qui ressemblent davantage à ce qu’on observe chez les humains.
Excellents nageurs, les individus se rassemblent généralement près des côtes de l’Antarctique ou sur des icebergs pour se reproduire. À long terme, selon une estimation du Fonds mondial pour la nature, la survie des trois quarts des colonies serait menacée par la dislocation d’une partie des glaces en raison du réchauffement climatique.
Pour autant qu’on puisse en juger avec ces données partielles, les humains infectés dans les fermes l’auraient tous été par un contact direct avec des vaches ou de la volaille: autrement dit, le virus, bien qu’il soit capable de se transmettre d’une vache à un humain, n’aurait pas encore acquis la capacité de se transmettre d’un humain à l’autre.
Certaines caractéristiques de l’air marin pourraient bel et bien favoriser l’hydratation des voies respiratoires et améliorer les symptômes de certaines maladies, en particulier respiratoires. Cependant, on découvre depuis quelques années que l’air du bord de mer peut aussi contenir des contaminants dommageables pour la santé.
C’est par une analyse d’ADN qu’on peut en théorie mettre une date. Et plus précisément une analyse d’ADN ciblant, dans différentes parties de l’arbre, les mutations somatiques, c’est-à-dire celles qui se produisent après la conception.