Les zones protégées représentent à l’heure actuelle 17 % des terres émergées de la planète (et 8 % des océans). Dans l’entente intervenue à Montréal en décembre dernier, au terme de la rencontre des Nations unies sur la biodiversité, les pays signataires se sont engagés à passer à 30 % en 2030.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Plusieurs scientifiques laissent entendre que ces cercles de « terre nue » aideraient la végétation du secteur à utiliser plus efficacement les maigres réserves d’eau.
Il faut rappeler que les trois Nobel de science — médecine, chimie et physique — ne sont pas des « prix de la découverte de l’année », mais des récompenses qui reconnaissent l’impact à long terme qu’a eu une découverte.
Puisqu’il s’agirait d’aider à prendre des décisions politiques, des enjeux délicats s’ajoutent: les « conseils » de l’IA pourraient-ils être influencés par les intentions de ceux qui l’ont programmée?
Si des chercheurs décodent les génomes de pangolins, c’est entre autres dans l’espoir de dresser une carte des habitats les plus souvent ciblés par cette chasse illégale dans le but de mieux diriger les fonds alloués à la protection de l’animal.
Même s’il est vrai que certains groupes ethniques ont été plus touchés par la pandémie de COVID-19, les facteurs socio-économiques semblent avoir joué un rôle déterminant, dès le début de la pandémie.
Un reportage du magazine Newsweek l’avait noté dès 2021: si la mouvance antivaccins la plus bruyante avait longtemps été le fait de militants de gauche s’inquiétant d’un lien avec l’autisme, elle a gagné en importance politique « à droite ».
Le tigre de Tasmanie n’était pas un tigre, comme son nom le laisse croire, mais un marsupial carnivore de la taille d’un loup. Accusé de tuer les moutons, il avait été chassé en masse par les colons européens installés sur l’île de Tasmanie, au large de l’Australie, au 19e siècle. L’espèce avait aussi vécu en Australie, jusqu’à il y a environ 3000 ans.
Les méduses ne sont pas seules dans le monde animal: les hydres, les escargots et les étoiles de mer, entre autres, n’ont pas non plus de cerveaux.
« C’est un symbole de ce que nous devons continuer de combattre, et de pourquoi. Un rappel qu’une simple particule virale a beau être petite, l’infection peut quand même être toxique, »