Arrakis pourrait exister autour d’une étoile lointaine. Mais — sans rien enlever aux qualités du roman de Frank Herbert et du film de Denis Villeneuve — pour les vers des sables, c’est plus douteux.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Même la chaleur des océans a été qualifiée « d’extrême », la moyenne de février ayant battu le record précédent… qui ne remontait qu’à août 2023.
En décembre, il avait été conclu que les 2 millions d’habitants de ce territoire faisaient face à une « insécurité alimentaire du niveau d’une crise ou plus ».
MethaneSAT n’est pas le premier engin du genre: 12 petits satellites canadiens (chacun de la taille d’un four à micro-ondes) gérés par la compagnie GHGSat, contribuent à identifier des sources d’émissions de méthane et de C02.
Les différents pays retournent chez eux avec une « invitation » à une transition en théorie plus rapide que celle qu’ils ont entreprise, sachant qu’un grand nombre d’entre eux ne sont pas sur la voie d’atteindre en 2030 les cibles de réduction des gaz à effet de serre qu’ils avaient mises sur la table en signant l’Accord de Paris en 2015.
Contrairement à la croyance populaire, il n’y a pas vraiment de mâle alpha dans les meutes de loups. Il y en a bel et bien chez les primates, mais son rôle, du moins chez les chimpanzés, est complètement différent de celui auquel aiment bien s’identifier les influenceurs masculinistes.
Sur les 11 000 mots de la 4e version du texte final de la COP28, « carburants fossiles » ne revenait que 3 fois —toutes trois dans le paragraphe hautement contesté qui stipulait que les parties « pourraient », à leur convenance, choisir des actions qui inclueraient, entre autres, une réduction des carburants fossiles.
Il a fallu attendre 2023 pour lire pour la première fois — dans la quatrième version du brouillon du texte final de la COP28 — le choix de s’engager à réduire « la consommation et la production » des carburants fossiles —,mais « d’une manière juste, ordonnée et équitable ».
La définition du « moment » où la planète aura dépassé le seuil du 1,5 degré est suffisamment vague pour qu’il puisse s’écouler jusqu’à 10 ans de plus avant qu’on puisse confirmer qu’on l’aura bel et bien dépassé.
Au dernier décompte, un peu plus de 100 pays soutenaient l’idée que le texte final de la COP28 en appelle à une « sortie » du pétrole, du gaz naturel et du charbon.