Ce n’est pas la première étude qui tente cette estimation, mais c’est la première à avoir plongé dans une aussi grande base de données.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Là où des professionnels des relations publiques étaient jadis incontournables pour faire passer le message de l’industrie, aujourd’hui des polémistes sur les réseaux sociaux peuvent être très efficaces.
Si la tendance se maintient, écrivent des chercheurs le 7 mars dans la revue Scientific Reports, le nombre de décès par « événement » pourrait s’élever à 5 millions en Norvège et au Canada, et à un peu plus d’un million au Royaume-Uni, les trois principaux pays touchés.
Après les missions habitées, il s’agit maintenant de sondes automatiques, dont les compagnies sont prêtes à échouer pour apprendre de leurs erreurs: il faut donc s’attendre à des résultats moins spectaculaires.
Les cinq chercheurs reconnaissent toutefois une grosse limite à leur expérience: dans le contexte de la lutte à la désinformation, si on choisissait de donner de l’argent, qui paierait?
Selon une étude parue le 6 mars dans la revue Nature, cela représentera, d’ici 2050, un demi-million de personnes de plus qui se retrouveront dans des quartiers désormais inondables, du moins si leurs villes ne mettent pas en place des défenses adéquates.
Considérer la machine comme humaine conduit à tromper le public sur ce qu’est vraiment l’IA et à surestimer ce que sont ses véritables capacités — ce qui, du coup, peut amener le public à lui faire un peu trop confiance, ou à la voir comme une forme d’intelligence supérieure.
Des millions de dollars allaient à des firmes qui n’avaient encore ni usine ni lignée cellulaire, et qui manquaient de transparence, reprochaient six experts du domaine dans un texte d’opinion publié par la revue Nature Food en septembre 2022.
Ici et là, on devine l’existence d’un rituel: par exemple, rapportait une recherche en novembre dernier, dans des sites de la période dite magdalénienne en Europe —il y a 12 à 17 000 ans— les ossements humains qui portent des marques ont été placés séparément des os d’animaux.
En théorie, un pays pourrait règlementer l’usage des données personnelles d’une personne après son décès. Mais en l’absence d’interdit, l’état actuel de la technologie n’est pas si loin de pouvoir permettre cette « expérience ».