Certaines de ces informations peuvent même être utilisées dans un contexte politique. Par exemple, en combinant les informations d’une application de suivi du cycle menstruel avec celles d’un outil de géolocalisation, il serait possible de déduire qu’une femme est allée subir un avortement.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Ça ne devrait pas être une surprise, considérant à quel point les humains, avec leur croissance démographique des deux derniers siècles, ont considérablement augmenté leurs contacts avec toutes sortes d’espèces animales.
Selon une récente estimation, les inondations auraient tué en moyenne un peu plus de 7000 personnes par année à travers le monde entre 1960 et 2022. Et le risque d’inondation augmente à mesure que la température moyenne augmente.
Prouver l’invention du rongorongo, indépendamment d’une influence extérieure, constituerait une découverte considérable, parce qu’on attribue traditionnellement l’invention de l’écriture à seulement quatre régions distinctes: Mésopotamie, Égypte, Chine et Amérique centrale.
Que l’écosystème de la désinformation en santé soit lucratif en ligne, en partie grâce à la « monétisation » des contenus que permettent les grandes plateformes, n’est évidemment pas une découverte.
Selon une estimation, une recherche Internet réalisée par un agent conversationnel nécessiterait quatre à cinq fois plus d’énergie qu’une recherche « conventionnelle » — avec Google, par exemple.
Le fait qu’il y ait un aussi grand écart entre les estimations officielles et réelles a de quoi inquiéter ceux qui mesurent le risque à long terme: le méthane est un gaz à effet de serre dont le potentiel de réchauffement « sur 100 ans » est au moins 25 fois plus élevé que le CO2.
L’ampleur des destructions, cette année, fait toutefois craindre un risque de sous-estimation, notait récemment le New York Times: le très grand nombre d’édifices détruits signifie que des centaines, voire des milliers de personnes, pourraient être toujours enterrées sous les décombres.
La centralisation aux mains des plateformes que sont les Google, Amazon et autres Facebook, de même que la commercialisation de nos données personnelles, sont « deux problèmes connectés » l’un à l’autre.
Cette recherche est aussi un rappel que toute affirmation sur la détection d’une « biosignature » — une « signature » dans l’atmosphère qui serait attribuable à de la vie — devra faire l’objet de la plus grande prudence, tant qu’elle n’aura pas été confirmée et re-confirmée par d’autres analyses.