En principe, les animaux élevés dans les fermes bio ont un potentiel de bien-être supérieur à ceux des fermes conventionnelles. Cependant, il n’existe pas encore de données solides pour le démontrer. De plus, une réflexion concernant certains enjeux de santé semble nécessaire.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Interrogé par la BBC, un expert britannique en études des conflits, Ken Giles, explique que les intérêts de la Russie pourraient être à la fois défensifs et offensifs: tester ses capacités à « immobiliser complètement l’Europe » en cas de conflit, et tester ses capacités à se protéger d’une attaque de missiles ou de drones.
La publication de ces documents s’inscrit dans un contexte où plusieurs poursuites en justice intentées contre des compagnies pétrolières dans différents États des États-Unis accusent ces compagnies d’avoir trompé le public sur leurs actions climatiques ou sur ce qu’elles savaient des impacts futurs des GES.
Trop souvent dans le passé, des politiques sur la nutrition ont été développées de façon prématurée, pour être remises en question quelques années plus tard, devant l’arrivée de nouvelles données.
Les experts ne savent toujours pas comment les vaches américaines ont été infectées et si le virus s’est transmis directement de l’une à l’autre.
De nombreux facteurs causent l’arrêt du traitement, mais l’un d’eux est l’absence de remboursement. En effet, la dose la plus élevée d’Ozempic coûte 400 $ CAN par mois.
À partir de quel seuil une maladie devient-elle assez grave pour qu’on recommande des protections comme un masque N95? Selon les experts, il est essentiel de répondre à ce genre de question.
Prévention, services de proximité et accessibilité des soins: « cela prend des visites dans les milieux de vie, auprès de ceux qui vieillissent et ne peuvent se déplacer. C’est une question de santé globale et d’accompagnement, une responsabilité de la communauté ».
Certains experts sont sceptiques. En entrevue pour la revue Nature, le neuroscientifique Hakwan Lau rappelle qu’il existe une réelle distinction entre les perceptions conscientes et inconscientes, mais qu’il n’est pas toujours facile de les distinguer clairement.
Ces techniques connues des experts en désinformation ne sont toutefois pas nouvelles. Ce sont les mêmes qui ont été utilisées dans le passé pour justifier le racisme, le sexisme ou l’homophobie.