Imaginez un médicament sans effets secondaires ou mieux encore, un remède qui soigne plusieurs maux à la fois. Le docteur en biochimie et professeur-chercheur de la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université Sherbrooke Rafael Najmanovich s’attèle à rendre cet avenir possible.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Êtes-vous surveillés sur Internet? Plus encore que vous ne le croyez. Certains sites réussissent même à obtenir de votre ordinateur le niveau d’énergie qui reste dans votre pile.
Le lien entre téléphones et cancer est de retour : une étude aurait découvert un lien chez des rats. Pourtant, un regard sur l’étude elle-même révèle qu’il est difficile de comprendre ce qu’elle a vraiment trouvé: les rats les plus exposés aux radiations sont aussi ceux qui… ont vécu le plus longtemps!
Comment réduire le nombre d’erreurs judiciaires causées par des témoins qui ont identifié le mauvais suspect ? En leur demandant d’indiquer leur niveau de confiance. Autrement dit, il suffirait de demander au témoin d’y réfléchir à deux fois pour que le nombre d’erreurs diminue, selon une étude parue récemment dans la revue PNAS.
Des humains seraient arrivés en Floride il y a au moins 14 500 ans. Les mastodontes qui occupaient le territoire n’ont apparemment pas apprécié.
En Europe, des magazines parmi les plus sérieux affichent régulièrement des unes sensationnalistes qui promettent de révéler les secrets des francs-maçons et autres pouvoirs de l’ombre, alimentant toujours plus l’intérêt du public pour les théories du complot.
Parler d’aide médicale à mourir signifie de mettre en place des mécanismes pour s’éteindre de la manière la plus « agréable » possible, souvent chez soi et accompagné par sa famille. Mais qu’arrive-t-il si on ajoute le don d’organe, qui suppose un hôpital adapté et potentiellement éloigné de la résidence?
Loin d’être une entité homogène, la ville recèle des espaces non déterminés et délaissés : des friches, des terrains vagues parfois sans nom, mais non sans identité. À propos du terrain vague, la coorganisatrice du colloque Imaginaire du terrain vague présenté lors du dernier congrès de l’Acfas, Élise Lepage, soutient que « c’est une sorte de trou noir du développement urbain, perçu comme une tumeur qui pourrait gagner le reste de la ville. Une sorte de « nowhere », un espace vide où se produit un phénomène de « dévoration » (comme dans dévorer) et qui pourrait bien être le centre du monde ».
Vous savez, cette ville maya perdue qu’un adolescent québécois aurait « découverte » grâce aux constellations? Elle n’était pas vraiment perdue. En fait, ce n’est pas vraiment une ville.
Gaz de schiste, pétrole, hydroélectricité. Le développement énergétique et même minier, provoque de plus en plus souvent de levers de boucliers au sein de populations locales. Loin d’être identifiée comme le « Pas dans ma cour », cette protestation symbolise la nécessaire recherche d’acceptabilité sociale.