Dans des conditions normales, une perte de diversité n’aurait pas été un obstacle à leur survie. Cependant, il est possible qu’ils se soient retrouvés vulnérables à un changement rapide de leur environnement, comme une nouvelle maladie ou une perturbation climatique.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Cette étude montre donc que la perception positive ou négative qu’on a d’un candidat en fonction de sa provenance, pourrait être atténuée selon la classe sociale. « Les candidats algériens sont punis dans cette évaluation. Ils sont perçus comme un poids, mais pas les Français. C’est comme si on donnait le bénéfice du doute à ces derniers. »
Le fait que ces particules soient peu étudiées vient justement de leur taille, et du haut degré d’incertitude que cela entraîne dès qu’on tente d’estimer la quantité à laquelle une personne est exposée. Mesurer les émissions à la source est en effet possible, mais mesurer l’impact sur la santé est plus difficile.
Selon une estimation de la NASA, il y aurait en orbite 25 000 objets faisant au moins 10 centimètres de large —une taille suffisante pour faire un trou dans un vaisseau en cas de collision. Et peut-être un demi-million d’objets mesurant entre 1 et 10 centimètres.
Toute forme de transformation à grande échelle du climat au-dessus d’une région —à supposer qu’elle soit possible— aurait inévitablement des répercussions sur d’autres régions.
Melissa Malzkuhn, qui enseigne à l’Université Gallaudet de Washington, une institution pour les sourds et malentendants, voit du potentiel dans ce travail, même si elle qualifie certaines des traductions réalisées par l’IA « d’inintelligibles ».
Bien que le grand patron de l’agence spatiale américaine, Bill Nelson, ait évoqué une « course » à la Lune alors que son propre programme Artemis vise une mission habitée en orbite lunaire en 2025 et un premier alunissage en 2026 (si tout va bien), plusieurs scientifiques rejettent cette façon de voir les choses.
Certaines fonctions du cerveau sont bel et bien localisées de façon préférentielle dans un hémisphère plutôt que l’autre. Cependant, il n’y a pas de différences marquées en fonction de la personnalité, puisque nous utilisons les deux hémisphères de notre cerveau presque en tout temps.
Les « revenus perdus » à cause des ouragans aux États-Unis seraient passés de 15 000 milliards de dollars à 40 000 milliards de dollars, sur une période d’environ 40 ans.
Ce qui en ressort, c’est que le véhicule autonome s’en sort mieux dans presque tous les « scénarios », concluent les deux chercheurs dans la revue Nature Communications. Mais jusqu’à cinq fois moins bien à l’aube ou au crépuscule. Et deux fois moins bien aux intersections.