De quelque façon qu’on fasse le calcul, il est certain que la société paie déjà en partie la facture des changements climatiques. Même si certains coûts indirects sont difficiles à évaluer pour le moment, les dépenses en cause sont vraisemblablement en train d’augmenter.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Déjà, à la mi-septembre 2024, on recense quelque 200 000 feux de forêt au Brésil depuis le début de l’année, plus du double de ceux calculés pendant la même période l’an dernier.
Les chercheurs, provenant de trois pays, se sont appuyés sur des estimations précédentes, selon lesquelles le 1% le plus riche de la population des États-Unis est responsable de plus d’émissions de GES que les 50% les plus pauvres. Or, d’après leur enquête, aux États-Unis, plus de la moitié de la population sous-estime cette empreinte carbone par un facteur de 10.
Ce n’est évidemment pas la seule étude qui, ces dernières années, a montré que la plupart des gens ont souvent du mal à distinguer le fait de l’opinion. Mais elle rappelle que souvent, le fond du problème n’est pas seulement que les gens sont en désaccord sur des faits, mais qu’ils sont même en désaccord sur ce qui constitue un fait.
L’une des chercheuses, la virologue Angela Rasmussen, écrivait jeudi dernier, au moment de la publication de l’étude, que celle-ci ne mettrait pas fin au débat sur l’origine du virus — y compris chez ceux qui veulent croire que le virus aurait été créé en laboratoire.
Ces médicaments viennent en tout cas de se mériter un des prix les plus prestigieux de la recherche médicale.
Comme il s’agit d’un fjord, qu’il fait moins de 3 km de large et qu’un glacier en ferme une des extrémités, l’immense énergie libérée a en quelque sorte été emprisonnée dans cet espace réduit, plutôt que de se dissiper sur l’océan.
Certains produits naturels pourraient avoir un effet sur les symptômes dépressifs. Toutefois, la recherche est insuffisante pour les recommander comme traitement, sauf rares exceptions. De plus, ces produits peuvent causer de graves effets secondaires, spécialement dans leurs interactions avec les médicaments.
Ce dont il est question, ce sont des « amas » ou des « grappes » de cellules faisant moins d’un millimètre de diamètre qui ressemblent superficiellement à des embryons mais n’en sont pas. Depuis deux décennies que plusieurs laboratoires en biologie cellulaire font ce genre d’expérience, ces imitations d’embryons ne sont pas viables.
À partir de quel moment les politiciens qui blâment la Chine lorsqu’on leur reproche de ne pas s’engager à réduire assez vite les gaz à effet de serre, réaliseront-ils que leurs économies ont pris du retard?