Jamais on n’avait vu un nouveau gouvernement américain intervenir à ce point, et à une telle vitesse, dans la recherche scientifique.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Au premier trimestre 2025, en France, moins de 3% du temps d’antenne des émissions d’information avait été consacré aux « enjeux environnementaux ».
Les « loups » élevés par la compagnie Colossal Biosciences ne sont pas des loups sinistres, mais plutôt des loups gris génétiquement modifiés pour leur ressembler. On est encore loin de la « désextinction » ou de la « résurrection » d’une espèce disparue.
Déjà, le 22 mars, un communiqué de l’Observatoire de la Terre (Earth Observatory) de la NASA avait alerté que la couverture de glace était à son plus bas pour ce moment de l’année: 14,33 millions de kilomètres carré, contre 14,41 millions pour le précédent record, en 2017.
Parmi les chatbots qui citent leurs sources, plusieurs ont cité comme source deux sites russes reconnus pour leur propension à publier des fausses nouvelles.
Il se pourrait que ce « transfert technologique » annoncé par DOGE coûte davantage à long terme que le million de dollars par an économisé — surtout si, préviennent les experts, aucune analyse des coûts et des risques à long terme n’a été faite au préalable.
Une étude séparée, parue le 31 mars dans la revue Health Promotion International, rappelle que la dissémination de désinformation par les réseaux sociaux, est incontestablement « une menace pour la santé publique ».
Qui plus est, « le prix Lasker » est souvent décrit comme une porte d’entrée vers le Nobel de médecine.
La formule n’explique toutefois pas les droits de douane infligés aux manchots de l’Antarctique. Mais elle illustre pourquoi, lorsqu’on veut vulgariser, il est important de ne pas complexifier inutilement quelque chose de simple.
Chez les chimpanzés par exemple, il y a longtemps qu’on a observé qu’un cri d’alerte pour signaler la présence d’un serpent peut prendre des formes différentes —, mais l’alerte reste pourtant la même.