Ironisant au sujet de l’émission télévisée Dans l’œil du dragon, l’équipe des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM) a présenté le 17 octobre la programmation de leur édition 2018, qui se déroulera du 8 au 18 novembre, en ciblant la tournure managériale du politique d’ici et d’ailleurs.
Auteur/autrice : René-Maxime Parent
Après Brice, l’agent secret OSS 117, Frédéric Beigbeder, l’acteur Jean Dujardin revient au grand écran dans la peau d’un self-made-man en sol français. La comédie I Feel Good (2017) réalisé par Gustave Kervern et Benoit Delépine a été projetée en première Nord-Américaine au Festival de nouveau cinéma du 3 au 14 octobre.
Choqué par le décès de sa mère, un policier monoparental tente de mener une vie normale dans la tragi-comédie Thunder Road (2018) réalisée par Jim Cummings, projetée dans le cadre du Festival du nouveau cinéma du 3 au 14 octobre.
Situé entre la Croatie et la Serbie, un syncrétisme plus ou moins calibré se loge dans ce petit pays montagneux. Présenté dans le cadre du Festival du nouveau cinéma, le documentaire The Stone Speakers de Igor Drljaca examine quatre phénomènes touristiques à travers lesquels les Bosniaques se réapproprient leur territoire.
Migrer aux États-Unis et entreprendre les démarches pour obtenir la green card, la cinéaste américaine d’origine roumaine Ioana Uricaru raconte le parcours inhumain d’une mère et de son fils qui aspirent à une vie meilleure avec le film Lemonade (2018) projeté dans la cadre du Festival du nouveau cinéma du 3 au 14 octobre.
Film de gangsters axé sur le point de vue de la copine du chef du clan, la cinéaste suédoise Isabella Eklöf présente Holiday (2018), son premier long-métrage dans le cadre du Festival du nouveau cinéma du 3 au 14 octobre. Les adeptes du genre vont-ils apprécier cette variante féminine?
À l’instar du mythe de Narcisse, 259 personnes sont mortes en voulant se photographier depuis 2011, d’après une étude publiée dans le Journal of Family Medicine and Primary Care, rapporte La Nacion le 4 octobre.
Au tournant du millénaire, les grands décideurs économiques et politiques ont présenté la mondialisation comme un phénomène naturel, inévitable et irrésistible. Le professeur de sociologie, Alain Bihr remet en question cette nouvelle écriture de l’histoire dans le Monde diplomatique de septembre, alors que le professeur d’histoire, Jackson Lears revisite la contreculture dans le New York Review of Books du 27 septembre.
Parmi les migrants originaires de France, ceux qui se considèrent comme des citoyens du monde sont-ils les mêmes qui s’entêtent à ne pas reconnaître le Québec comme une société distincte ? Aux antipodes de cette migration économique, le documentaire Pauline Julien, intime et politique de la cinéaste Pascale Ferland raconte l’histoire de cette chanteuse qui a préféré le Québec en mutation à une carrière en France.
Avec 13, un ludodrame sur Walter Benjamin projeté à la Cinémathèque québécoise, le cinéaste montréalais d’origine péruvienne Carlos Ferrand raconte l’exil à Paris de 1933 à 1940 de ce philosophe, historien de l’art et traducteur allemand. Alors que l’artiste multidisciplinaire montréalaise originaire de Berlin, Bettina Hoffmann présente Chorégraphie de mouvements derrière la vitrine du Goethe-Institut.