Si Blue Beetle a raté son coup au box-office, ce n’est pas parce qu’il est mauvais, loin de là, mais simplement parce qu’à l’exception de sa saveur latine, le long-métrage ne propose rien qu’on n’ait déjà vu mille fois dans les autres films du genre. Pour cette raison, seuls les inconditionnels du personnage de Jaime Reyes et des histoires de superhéros y trouveront leur compte.
Auteur/autrice : Patrick Robert
C’était un pari risqué, de la part des studios, de miser sur l’histoire d’un chien ayant décidé de se venger de son maître indigne en lui mordant le pénis, mais cette audace s’avère payante puisque, loin des comédies souvent trop sages des dernières années, Strays réussit à nous faire rire de bon cœur du début à la fin.
Si vous avez apprécié le premier film, vous retrouverez le même mélange d’action et d’humour dans Meg 2: The Trench, une suite qui réussit à doubler la mise en ajoutant encore plus de monstres marins à son intrigue.
Résister et fleurir aurait pu être un simple essai, mais en utilisant la forme du roman graphique, Jean-Félix Chénier et Yoakim Bélanger rendent le concept de l’utopie beaucoup plus accessible. Ce faisant, leur invitation à rêver d’un monde différent a de meilleures chances de rejoindre un vaste public, ce qui ne peut qu’être bénéfique.
Film d’horreur dont on connaît d’avance le dénouement, The Last Voyage of the Demeter propose une exécution classique, ce qui ne l’empêche pas d’être efficace. Même s’il ne réinvente pas la roue, il a au moins le mérite de présenter une facette différente, et peu exploitée, de l’histoire de Dracula.
Ceux qui souhaitaient qu’Assassin’s Creed revienne à ses racines et ceux qui préféraient la direction RPG prise par la franchise dans les dernières années n’auront probablement pas la même appréciation du jeu, mais peu importe votre camp, il est indéniable que Mirage offre une expérience d’une grande qualité.
Sea of Stars ne se contente pas d’être une lettre d’amour aux jeux de rôles de la vieille école, puisque les studios québécois Sabotage insufflent assez de personnalité à la formule pour livrer une expérience solide, qui sera même appréciée par ceux et celles n’ayant pas connu la grande époque des RPG en 16-bit.
Fresque historique d’envergure, Une révolution nommée Raspoutine est une lecture fort instructive, qui permet d’en apprendre davantage sur le sulfureux personnage, mais aussi sur la Russie du début du vingtième siècle, déchirée entre les affres de la Première Guerre mondiale et la prise du pouvoir par les bolchéviques.
Avec ses relents de mysticisme et sa narration atypique, Le cerf aux bois de fer n’est peut-être pas une œuvre qui séduira un large public, mais ce roman graphique d’une grande beauté devrait toutefois charmer les amateurs d’art et de mythologie celtique par son approche très personnelle, et onirique.
Grâce aux nombreuses améliorations qu’il apporte à la formule, The Texas Chain Saw Massacre est sans aucun doute la meilleure expérience asymétrique à ce jour, et les inconditionnels de ce genre de titre (et du film de Tobe Hooper) sauront apprécier ce jeu d’horreur et de survie.