Profitant de la sortie de Skate Park, son plus récent album dans lequel des adolescents s’affrontent lors de courses de patins à roulettes et de skateboard au sein d’un monde postapocalyptique, Pieuvre a eu le plaisir de s’entretenir avec ce prolifique artiste.
Auteur/autrice : Patrick Robert
Largement supérieur à la première partie, Dune: Part Two est destiné à devenir un grand classique, et l’adaptation définitive du roman de Frank Herbert au grand écran. C’est tellement bon que l’on souhaite maintenant que Denis Villeneuve continue la saga, en s’attaquant au second livre de la série, Le Messie de Dune.
Je suis habituellement peu friand de comédies romantiques, mais en ajoutant des éléments d’horreur et un humour grinçant à sa formule, Lisa Frankenstein se démarque des autres films du genre, démontrant au passage que Zelda Williams est une réalisatrice à surveiller.
Moins intense que la première partie, Justice League: Crisis on Infinite Earths – Part Two continue de belle façon cette œuvre, parmi les plus ambitieuses jamais réalisées par les studios d’animation de Warner. Si les néophytes risquent d’être un peu perdus devant ce foisonnement de personnages et de références, les lecteurs de longue date de DC eux seront aux anges.
Sans être aussi mémorable (ou aussi beau) que Ghost of Tsushima, Rise of the Ronin offre une expérience d’une très grande qualité, et les joueurs s’amuseront ferme durant la soixantaine d’heures requise pour compléter le titre.
Si vous cherchez un film profond avec un scénario intelligent et une psychologie de personnages fouillée, The Beekeeper n’est pas pour vous, mais pour les amateurs d’action, d’explosions et de combats frénétiques, le long-métrage de David Ayer se présente comme une sorte de John Wick doté d’un soupçon de conscience sociale.
La Bête constitue à la fois une ode à l’enfance, aux animaux et à l’âge d’or de la bande dessinée franco-belge. Il est impossible de rester insensible devant ce récit touchant et magnifiquement illustré, dans lequel Zidrou et Frank Pé parviennent à réinventer le marsupilami avec un grand respect pour le travail d’André Franquin.
Night Swim n’est pas le pire film d’horreur produit cette année, mais malheureusement, en dépit d’une prémisse assez originale, le long-métrage s’avère peu remarquable, et même les inconditionnels de cinéma de genre risquent de ne pas y trouver leur compte.
« Oui. Même sous les gouvernements totalitaires, c’est peut-être plus rare et plus caché, mais les gens rient encore. Et justement, d’avoir des personnages un peu loufoques, ça fait passer le message plus subtilement, mais peut-être plus facilement aussi. »
Tout en étant un lecteur de longue date des comics, j’ai trouvé que The Lost Kingdom parvenait à être moins intéressant que le premier Aquaman, qui n’était pourtant pas un chef-d’œuvre, loin de là. Espérons que le nouvel univers cinématographique de DC, dont les rênes ont été confiés à James Gunn, saura se démarquer davantage.