Si vous cherchez un film de vampires qui, sans se prendre au sérieux, réussit tout de même à sortir des sentiers battus, vous ne serez certainement pas déçu avec Abigail, une œuvre aussi sanglante que comique.
Auteur/autrice : Patrick Robert
Pas besoin d’être Afro-Américain pour apprécier American Fiction, une œuvre d’une féroce intelligence qui réussit à divertir tout en soulevant des questions très pertinentes sur la façon dont les Noirs sont dépeints dans la culture populaire.
Fable touchante sur la nécessité de l’art et le parcours, parfois tortueux, menant à la création, Ama prouve qu’André-Philippe Côté est aussi doué pour raconter des histoires au long que de résumer l’actualité en une seule image, et avec cet album, il livre l’une des meilleures bandes dessinées québécoise de l’année.
Je comprends qu’il s’agit d’une production d’un petit développeur indépendant, mais ça n’excuse pas le manque de finition générale de Morbid: The Lords of Ire, qui aurait mérité d’être encore largement peaufiné avant d’être lancé. Avec tous les « souls-like » disponibles en ce moment, il y a malheureusement très peu de raisons de se procurer celui-ci.
Si vous préférez les films de monstres dotés d’une bonne histoire, vous devriez plutôt vous tourner vers la production japonaise Godzilla Minus One, mais si vous regardez ce genre de long-métrage pour les effets visuels et les combats épiques, vous trouverez assurément votre compte avec Godzilla x Kong: The New Empire.
Même si son intrigue est légèrement moins intense que ce à quoi nous a habitués la série The Walking Dead, les amateurs des jeux vidéo épisodiques de TellTale seront heureux de retrouver le personnage de Clementine, et de suivre l’adolescente dans ses nouvelles aventures.
J’ignore si c’est parce que les gens ont mal compris la satire derrière le concept ou si c’est l’utilisation du mot en « N » dans le titre qui a choqué certaines sensibilités, mais une chose est sûre : The American Society of Magical Negroes est bien meilleur que la maigre cote de 3 sur 10 que les cinéphiles lui ont donnée sur IMDB.
Présentant les meilleurs films de braquage jamais réalisés dans la meilleure résolution qui soit, le coffret Ocean’s Trilogy est un must pour tous les amateurs de Steven Soderbergh, et les trois longs-métrages sont toujours aussi divertissants aujourd’hui qu’au moment de leur sortie initiale en 2001, 2004 et 2007.
Immense classique, The Big Guy and Rusty the Boy Robot n’a pas pris une seule ride, et vaut encore la peine d’être lu de nos jours. Avec ses pages de grand format rendant justice aux illustrations de Geof Darrow, il s’agit d’une édition proche du livre d’art, que tous les collectionneurs voudront se procurer.
Profitant de la sortie de Skate Park, son plus récent album dans lequel des adolescents s’affrontent lors de courses de patins à roulettes et de skateboard au sein d’un monde postapocalyptique, Pieuvre a eu le plaisir de s’entretenir avec ce prolifique artiste.