On apprécie les livres mettant en lumière des réalités différentes de la nôtre, et c’est exactement le cas de La fin du commencement, une bande dessinée qui dépeint le Liban des années 1980, tout en nous faisant découvrir le Québec sous un angle différent, à travers le regard d’un immigrant homosexuel.
Auteur/autrice : Patrick Robert
On pourrait qualifier Thymesia de Dark Souls du pauvre, mais malgré son budget limité, ce titre indépendant propose plusieurs bonnes idées, ainsi que des mécaniques originales.
À la fois charmant, épique et comique, DC League of Super-Pets compte parmi les meilleurs films d’animation de l’année, et autant les jeunes que les adultes connaissant les superhéros de DC passeront un bon moment avec ce long-métrage.
Avec ce polar teinté de fantastique, Éric Stalner, qui agit la plupart du temps comme dessinateur, montre qu’il a également beaucoup de talent en tant que scénariste, et grâce à son délectable duo, Bertille & Bertille pourrait bien être le début d’une série à succès.
Avec un scénario trop prévisible, de l’humour au premier degré, des comédiens qui sonnent faux, mais des visuels absolument magnifiques, The Munsters est non seulement la moins réussie des réalisations de Rob Zombie à ce jour, mais aussi l’un des pires films de l’année.
Si vous cherchez une expérience iconoclaste, originale et très drôle, Destroy All Humans! 2: Reprobed est un classique qu’il vaut la peine de découvrir, ou de redécouvrir.
Utilisant la fiction pour aborder des questions sociales brûlantes d’actualité, The White Lotus est un drame de mœurs amusant qui fait rire à l’occasion, mais qui donne surtout à réfléchir sur le racisme ordinaire se dissimulant parfois derrière le tourisme de luxe.
Si vous aimez les romans graphiques misant davantage sur l’émotion et les personnages que l’action, vous apprécierez le Breakwater de Katriona Chapman dont le récit intimiste, à l’image de la vie, s’avère doux-amer.
Sans être aussi bon que Sinister, The Black Phone est tout de même supérieur à la moyenne des long-métrages du genre.
Bien sûr, Saints Row ne réinvente pas la roue et, à l’instar de la plupart des mondes ouverts, certaines activités secondaires deviennent un peu répétitives, mais l’expérience est somme toute fort amusante, et loin d’être aussi mauvaise que les critiques le laissent entendre.