Même s’il ne s’agit pas du meilleur film de superhéros, The Flash vaut le visionnement, ne serait-ce que pour le grand retour de Michael Keaton dans le rôle de Batman. Quiconque est familier avec la culture populaire appréciera cette aventure, qui jette un regard à la fois familier et différent sur l’univers cinématographique de DC.
Auteur/autrice : Patrick Robert
Noir burlesque montre un Enrico Marini au sommet de son art, tant au niveau du scénario que des dessins. Même ceux et celles qui n’ont jamais regardé de film noir de leur vie risquent d’apprécier ce polar inspiré, s’inscrivant dans la lignée de classiques comme The Spirit de Will Eisner ou le Sin City de Frank Miller.
Même s’il étire la sauce d’une franchise commençant sérieusement à s’essouffler, les inconditionnels de Fast & Furious retrouveront cependant tout ce qu’ils aiment dans Fast X, en autant qu’ils ne se formalisent pas du manque de conclusion, pour laquelle ils devront attendre l’inévitable onzième volet de la série.
Proposant la même action survoltée qu’un film d’action des années 1980, Crime Boss: City Rockay est un titre ne ressemblant à rien d’autre. Si son expérience de tir à la première personne est adéquate, sans plus; c’est surtout à travers ses mécaniques de gestion d’un empire criminel que le jeu brille.
En mettant en vedette un groupe d’enfants tentant tant bien que mal de survivre dans un monde qui aurait pu être le nôtre si l’épidémie de COVID-19 n’avait pas été endiguée, ce troisième tome de La Chute apporte sa propre personnalité au classique récit de fin du monde.
Présentant le meilleur et le pire de la nature humain dans une même et seule histoire, Une soif légitime de vengeance est un polar comme on les aime : adulte, violent, et rempli de zones morales grises. Il s’agit d’une autre série de Rick Remender destinée à devenir un classique.
Sorte de Sex and the City mettant en vedette quatre femmes septuagénaires, Book Club: The Next Chapter constitue une ode à l’amitié, et propose une leçon sur l’importance de profiter du moment présent, surtout lorsque la majeure partie de sa vie est derrière soi. Il s’agit d’une suite agréable qui, sans trop changer la formule, devrait plaire aux amateurs du premier film.
En raison de son approche plus centrée sur l’action et davantage accessible au grand public, ce nouveau volet risque de séduire ceux et celles qui n’avaient jamais été particulièrement attirés par la franchise.
Samedi est un album unique, dont le récit continue de nous hanter longtemps après l’avoir refermé. Cette œuvre d’une puissance exceptionnelle constitue un bel exemple de ce que peut accomplir la bande dessinée lorsqu’elle devient un terrain d’expérimentation, autant en termes de narration que de présentation visuelle.
En se concentrant sur le serviteur de Dracula et sa rébellion contre son maître, Renfield réussit à apporter une dose de sang neuf à la classique histoire de vampire. Il ne s’agit peut-être pas d’un film très profond, mais le divertissement qu’il procure est solide, et risque de vous faire éclater de rire à de nombreuses reprises.