En raison de son approche plus centrée sur l’action et davantage accessible au grand public, ce nouveau volet risque de séduire ceux et celles qui n’avaient jamais été particulièrement attirés par la franchise.
Auteur/autrice : Patrick Robert
Samedi est un album unique, dont le récit continue de nous hanter longtemps après l’avoir refermé. Cette œuvre d’une puissance exceptionnelle constitue un bel exemple de ce que peut accomplir la bande dessinée lorsqu’elle devient un terrain d’expérimentation, autant en termes de narration que de présentation visuelle.
En se concentrant sur le serviteur de Dracula et sa rébellion contre son maître, Renfield réussit à apporter une dose de sang neuf à la classique histoire de vampire. Il ne s’agit peut-être pas d’un film très profond, mais le divertissement qu’il procure est solide, et risque de vous faire éclater de rire à de nombreuses reprises.
Layers of Fear est un véritable classique du genre, et cette nouvelle mouture apporte juste assez de nouveauté pour que même ceux et celles ayant joué aux deux titres originaux de la franchise aient de bonnes raisons d’y plonger à nouveau. Baissez les lumières, montez le son, et préparez-vous à vivre une expérience digne des meilleurs films d’horreur.
Si vous vous êtes déjà demandé qui, d’Arsène Lupin ou de Sherlock Holmes, sortirait gagnant d’une confrontation, cette bande dessinée de Jérôme Félix et Alain Janolle opposant deux personnages mythiques de la littérature, vous fournira une réponse des plus satisfaisante.
L’horreur a trouvé le médium parfait avec les jeux vidéo qui, en raison de leur interactivité, s’avèrent bien plus terrifiants que n’importe quel film, et si vous aimez les sueurs froides et l’épouvante, vous serez comblé avec Amnesia: The Bunker, un titre qui n’est définitivement pas pour les cœurs sensibles.
Plutôt que de livrer un récit s’inscrivant dans la plus stricte continuité, Robin Recht n’hésite pas à prendre des risques avec Adieu Aaricia.
Il est vraiment étonnant que les propriétaires de la franchise Lord of the Rings aient autorisé la sortie d’une expérience de si piètre qualité, qui se vend de surcroît 80 dollars. Il s’agit d’un des pires jeux parus cette année, qui décevra même les inconditionnels de Tolkien.
Satire sur la naïveté de la jeunesse et les désillusions qu’elle provoque, Les inconvénients de la félicité propose un récit alternant entre drame et humour dont les personnages, plutôt que d’être idéalisés comme ils le sont souvent dans les œuvres de fiction, possèdent des défauts les rendant totalement humains.
Bien sûr, After Us propose une allégorie à peine voilée sur la façon dont l’humanité est en train de détruire la planète, mais son message ne se fait jamais au détriment du plaisir que procure l’expérience. Il s’agit définitivement d’un des jeux de plateformes les plus intéressants des dernières années.