Si Love Hurts ne risque pas de laisser une impression durable chez la plupart des cinéphiles, les fans d’acrobaties à la Jackie Chan et les adeptes des films d’action hongkongais des années 1990 seront toutefois divertis par ce long-métrage sans prétention, ni profondeur.
Auteur/autrice : Patrick Robert
Si vous aimez les histoires de vampires, mais trouvez que la littérature les mettant en vedette n’offre plus grand-chose de nouveau, vous serez charmés par Le voleur d’amour, une bande dessinée qui parvient à injecter du sang neuf à cette figure mythologique trop souvent exploitée.
On a parfois l’impression que bon nombre de productions en provenance d’Hollywood sentent le réchauffé, mais Companion prouve qu’il est encore possible de réaliser des films vraiment originaux, et qu’un bon scénario vaut dix fois plus que des effets spéciaux coûteux. Il s’agit donc d’une œuvre rafraîchissante, qu’il vaut la peine de visionner.
En raison de son réalisme rendant son expérience un peu ardue, Kingdom Come Deliverance II demande de la patience aux joueurs qui souhaitent maîtriser ses différentes mécaniques, mais si les défis ne vous rebutent pas, ce RPG ne ressemblant à aucun autre vous procurera plus d’une centaine d’heures d’immersion dans son monde médiéval.
Après le succès de The invisbile Man, Leigh Whannell livre une réinvention très décevante du loup-garou, et son Wolf Man n’apporte malheureusement pas grand-chose de neuf à la formule. Vous aurez probablement beaucoup plus de plaisir en regardant la version originale de 1941.
Des monstres géants, de l’action à revendre, un brin d’humour, des personnages sympathiques et des dessins sublimes teintés de nostalgie rétro, voici ce qu’offre The Kong Crew, une série ne contenant peut-être pas de message profond, mais que l’on prend plaisir à dévorer de la première à la dernière page tant elle est divertissante.
Axé bien davantage sur l’action que la magie des Fêtes, Red One ne risque vraiment pas de devenir un classique de Noël, et à part pour punir les enfants qui n’ont pas été sages, il y a peu de raisons de visionner ce film.
Il ne se fait malheureusement plus de grands films comme Amadeus de nos jours, et par sa qualité scénaristique et cinématographique, même ceux et celles qui n’ont aucun intérêt pour la musique classique risquent d’apprécier ce chef-d’œuvre de Milos Forman.
Empruntant autant à Immortals Fenyx Rising qu’à Shadow of the Colossus, Eternal Strands offre une expérience d’action-aventure unique qui saura plaire aux amateurs du genre. Il s’agit d’un excellent coup d’envoi pour Yellow Brick Games, et on a bien hâte de voir ce que le studio québécois nous réserve dans l’avenir.
En tant que thriller surnaturel, Constantine n’est pas un mauvais film, mais, paradoxalement, cette adaptation de Hellblazer plaira surtout à ceux et celles qui ne connaissent pas trop les comics. Les lecteurs de longue date devraient plutôt se tourner vers la série télé de 2014, où le personnage est joué de main de maître par Matt Ryan.