Deux ans après «Mansard Roof», les New-Yorkais de Vampire Weekend reviennent en force avec ce deuxième album: «Contra».
Auteur/autrice : Pieuvre.ca
Pour sa première pièce de l’année chinoise du tigre, Les Grands Ballets Canadiens de Montréal ont reçu le 18 février le ballet de Guangzhou représentant leur Sylphide en première nord-américaine.
Avec son titre pour le moins évocateur, Roadkill nous transporte jusqu’en Australie, sur le bord de l’une des nombreuses autoroutes qui traversent ses terres désertes. Roadkill donc, une référence à ces petits animaux aux voies malchanceuses, mais aussi Roadkill comme dans les dizaines de légendes urbaines (ou plutôt rurales), histoires de touristes aux destin tragiques, disparitions mystérieuses et autres hagards égarés, qui façonnent le paysage folklorique de ce pays d’en bas.
Tous les premiers vendredis du mois, le Musée d’art contemporain organise ses « Vendredis nocturnes », occasion de s’imprégner d’art et de cocktails de toutes formes.
S’il est un film de peu de mots, c’est bien celui que Podz nous sert depuis hier sur un plateau médical. Scalpel, bistouri, alcool, fusil de chasse… Anatomie d’un chirurgien qui opère sa vengeance à froid.
Présentée le 7 octobre 1980, Tosca de Giacomo Puccini, l’œuvre inaugurale de l’Opéra de Montréal, est remise sur scène pour célébrer le 30e anniversaire de la compagnie.
Le ministre fédéral des Affaires Étrangères, Peter Kent, souhaite renforcer les relations du Canada avec le Mexique, un pays qu’il considère comme ami et qui n’a pas exploité toute sa richesse, tant économique que culturelle.
Tourné en noir et blanc, le dernier long métrage de Samuel Benchetrit suit la désormais interminable lignée de réalisateurs qui puisent à gauche et à droite le plus gros de leur inspiration chez des cinéastes marquants.
Après avoir ouvert le festival Cinémania en 2005 avec Va, vis et deviens (Prix du public 2005), Radu Mihaileanu fermera cette fois l’événement avec, Le concert, sa dernière œuvre cinématographique aussi bouleversante que burlesque.
L’obsession soudaine de lire Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer de Dany Laferrière m’a poussé à lire une dizaine de ses romans. La plupart faisaient partie de son autobiographie américaine, composée d’histoires se déroulant en Haïti, aux Etats-Unis et au Québec. Son avant dernier roman, Je suis un écrivain japonais, montre à nouveau un auteur capable, confiant, concis et lucide.