Le 44e Festival du nouveau cinéma a dévoilé sa programmation 2015! La louve emblématique voit son pelage luisant et fourni et ce malgré la précarité du plan d’austérité de notre gouvernement provincial. Oui le bonheur est dans les salles!
Auteur/autrice : Pieuvre.ca
Après s’être attaqué à des sujets chocs tels que la maltraitance des enfants et la surconsommation de médicaments au Québec, Paul Arcand nous revient avec son troisième documentaire, Dérapages, portant sur les jeunes derrière le volant. L’animateur vedette du 98,5 FM, qui a coproduit le film en compagnie de Denise Robert, donne en effet la parole aux amis, parents et survivants d’accidents de la route causés par des jeunes âgés entre 16 et 24 ans au Québec.
Le Brésil était à l’honneur ce week-end à la Place des Arts avec la troupe de danse moderne Grupo Corpo, invitée par la série Danse Danse. Le chorégraphe Rodrigo Pederneiras présentait en effet deux de ses œuvres Parabelo (1997) et Breu (2007).
Si on avait demandé au réalisateur Dante J. James de faire un film résumant l’histoire de la belle époque du jazz, il n’aurait pu mieux faire.
Chez Pieuvre.ca, où l’information est multidisciplinaire et les journalistes tentaculaires, quand on reçoit une invitation, tout se boucle à la vitesse de la lumière. En deux ou trois courriels, on se retrouve face à un paysage obscur de danse du bout du monde, dans un univers parallèle en 3D en matinée, ou en d’autres contrées lointaines du cosmos artistique. Cette semaine, cap sur le lancement d’un label de disques rétro-funk – Les disques Pluton.
Pour quiconque a déjà visité le Japon, ou qui est familier avec l’esthétique japonaise, le film Katsura Rikyu dévoilera quelques-uns des secrets architecturaux chers à ce peuple.
Le remake, au cinéma, est souvent périlleux. Surtout si l’histoire est connue. Surtout si le réalisateur est connu. Et surtout si l’univers du conquérant et du conquis sont, tous deux, tout aussi connus. Bref, le terrain était glissant. Mais entre glisser, et tomber dans le terrier d’Alice au pays des merveilles, il y a tout un monde. Le monde de Tim Burton.
Toute de noir vêtue dans un décor blanc enneigé, Elisapie Isaac a tenue le public de l’Astral en admiration mercredi soir. Avec ses chansons en français, anglais et bien sûr en inuktituk tiré de son dernier album «There will be stars» elle a réussie à créer une ambiance jazzy, folk et moderne à la fois.
Lancé vendredi dernier partout en Amérique du Nord, le dernier film de Martin Scorsese rafle déjà la première place au box-office. Les attentes sont hautes. Et la qualité aussi.
19h30 sonnantes. Jeff Beck et sa guitare sont tous deux – mais pas seuls – bien présents pour faire lever la foule, qui elle aussi, est avide de sensations (auditives) fortes et endiablées. Eric Clapton ensuite qui fait mousser le tout jusqu’à la dernière goutte. Un spectacle évolutif et délicieusement rythmé, dont on a dégusté chaque mesure.