Aux éditions du Seuil paraissait cet hiver le plus récent roman policier de Deon Meyer, En vrille. Auteur d’une dizaine de best-sellers traduits dans plusieurs langues, Meyer est originaire d’Afrique du Sud et s’il y a une constante dans le contenu de ses romans, ce ne sont pas des personnages ou des intrigues semblables. C’est plutôt une capacité à décrire avec respect, avec amour, ce pays qui l’habite. Autant les gens que les lieux, Deon Meyer les respecte et sait les décrire avec la passion d’un profond attachement.
Auteur/autrice : Martin Prévost
À l’automne dernier, la maison d’édition Boréal faisait paraître, dans la collection Papiers collés, Google goulag – Nouveaux essais de littérature appliquée, sous la plume de Jean Larose.
Dans le cadre de l’an 2 de sa présentation de l’Intégrale des cantates de Bach, l’Ensemble I Musici de Montréal, présentait le 19 décembre dernier, les trois premières cantates de l’Oratorio de Noël, sous la houlette du chef Jean-Marie Zeitouni. Pour l’occasion, l’ensemble était augmenté d’une dizaine de musiciens invités et du Chœur du Studio de musique ancienne de Montréal et, pour les besoins de l’œuvre, de Kimy McLaren, soprano, Mireille Lebel, alto, Frédéric Antoun, ténor et Steven Labrie, baryton.
Le 26 novembre dernier, à la salle Pierre-Mercure du Centre Pierre-Péladeau, on attendait la vedette du moment dans le petit monde de la musique classique au Québec, le pianiste Charles Richard-Hamelin, pour un récital tout Chopin. Et comme si c’était nécessaire, Françoise Davoine, animatrice à Radio-Canada, était là pour réchauffer la salle et nous redire à quel point le jeune et très talentueux pianiste faisait maintenant sensation à travers le monde et particulièrement en Pologne, patrie du génial compositeur.
Pour la programmation du concert d’ouverture de la 9e édition du Festival Bach de Montréal, la directrice artistique et fondatrice du Festival, Alexandra Scheibler, a opté pour des valeurs sûres. Le Concerto no. 5 pour clavecin, cordes et basse continue, en fa mineur de Johann Sebastian Bach et le Concerto pour hautbois, cordes et basse continue, en ré mineur d’Alessandro Marcello ont toujours la faveur des mélomanes.
La maison Analekta étant toujours aussi prolixe dans ses publications, nous y allons ici d’un menu en trois services pour présenter des albums parus dans les dernières semaines.
Le 9 octobre dernier, à la Salle Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal, avait lieu le premier concert de la 35e saison de l’ensemble de musique baroque Arion. Pour cette occasion, la direction artistique a choisi d’inviter le violoniste Enrico Onofri et la mezzo-soprano Mireille Lebel pour un programme consacré entièrement à Antonio Vivaldi. À ces deux interprètes de choix, est venue s’ajouter Claire Guimond, flûtiste et directrice artistique d’Arion.
Après l’accueil qui a été réservé à son premier roman, Charlotte before Christ, la barre était haute pour Alexandre Soublière lors de la publication par Boréal de son deuxième opus. C’est il y a quelques semaines qu’Amanita virosa, s’est retrouvé sur les rayons des librairies.
Le plus récent opus de Lise Tremblay, récipiendaire du Prix du Gouverneur général en 1999, est un récit qui a tout du chemin de croix et un peu du combat entre le bien et la mal. Le bien étant personnifié par le Chemin St-Paul, du côté de chez son père, et le mal par la maison en bardeaux, du côté de chez sa mère et de sa grand-mère.
En ce soir hivernal du 25 mars, la chaleur et le réconfort se trouvaient dans la salle de l’Astral, où le public était reçu, disons-le, dans le salon de la toujours jeune Karen Young.