Pour conclure la série Violons et cordes du Festival Orford Musique, les organisateurs ont eu l’excellente idée de réunir sur scène deux figures montantes de la musique classique: Stéphane Tétreault, violoncelle et Paul Huang, violon. Cette rencontre nécessaire avait lieu le 5 août dernier à la salle Gilles-Lefebvre, sur le toujours invitant site du Parc Orford. On y présentait donc deux duos pour violon et violoncelle et un trio avec piano, pour lequel la pianiste Katherine Chi se joignait aux deux autres.
Auteur/autrice : Martin Prévost
C’est vendredi soir, à la Chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours, que la mouture 2017 de l’Orchestre de la Francophonie donnait son ultime concert. Dans un véritable four, chauffé à plus de 30 degrés, les jeunes musiciens ont eu l’occasion de montrer l’ampleur de leurs talents dans un programme concocté à la dernière minute et pour lequel ils n’ont eu que très peu de temps pour répéter.
Ce samedi, le Domaine Forget, dans le cadre de son festival international, recevait la visite attendue du violoniste canadien James Ehnes et de l’Orchestre de la Francophonie (OF), sous la direction de Simon Rivard.
Vendredi soir, à la Salle Gilles-Lefebvre du Centre d’art d’Orford, était lancée, et de belle façon, la saison 2017 du Festival Orford Musique.
À la Maison symphonique de Montréal, le 5 juillet dernier, avait lieu une soirée plutôt spéciale. Il s’agit de la presque rencontre de deux mondes musicaux dans le cadre de deux festivals de musique concurrents : le Festival d’orgue de Montréal, associé au Festival international de jazz de Montréal. Le seul véritable objet commun entre les deux spectacles présentés ce soir-là? Le grand orgue Pierre-Béique, cette merveille issue du génie de Casavant Frères.
Le plus récent roman de Daniel Poliquin, publié chez Boréal, s’intitule Cherche rouquine, coupe garçonne et raconte l’histoire de… ou plutôt des histoires… ou même pas d’histoire du tout, en fait. Ce sont plutôt des brouillons de personnages, plus ou moins élaborés, qui sont présentés au lecteur autour d’un squelette qui est une reprise, un peu légère, de l’affaire Coffin. Affaire qui, on s’en souviendra, s’est conclue par la pendaison d’un probable innocent.
Le récent opus de Carlo Bonini et Giancarlo De Cataldo, paru aux Éditions Métailié, dans la collection Noir, s’intitule Rome brûle. Si on devait résumer l’intrigue, on pourrait dire qu’il s’agit d’une transposition du phénomène québécois de la corruption et de la collusion dans le secteur de la construction, dans le même milieu en Italie, et plus précisément à Rome.
Le cavalier de St-Urbain, de Mordecai Richler, est la quatrième traduction récente des œuvres de fiction du romancier montréalais, réalisée par Lori St-Martin et Paul Gagné, pour les éditions Boréal. Publié d’abord en anglais, en 1971, c’est à l’automne 2016 qu’il revient sur les tablettes dans un nouvelle traduction.
À l’occasion du 375e anniversaire de la Ville de Montréal, est né le Festival d’orgue de Montréal, en collaboration avec l’American Guild of Organists, le Collège royal canadien des organistes et le Concours international d’orgue du Canada. Les organisateurs nous annoncent ainsi le plus grand rassemblement d’organistes qu’on ait vu d’un océan à l’autre.
À l’occasion de sa 39e édition, le Festival international du Domaine Forget et son ambassadrice Marie-Nicole Lemieux prévoient nous en mettre non seulement plein les oreilles, mais aussi plein la vue et plein le goût.