Tout commence dans l’obscurité. Juste assez de lumière pour nous permettre de voir des corps comme des taches noires envahir l’espace blanc du sol. Tel un ballet de cellules en division, en mutation peut-être. La scène est transformée en une sorte de champ magnétique qui contrôle tout ce qui la frôle.
Auteur/autrice : Mathilde Perallat
Cette année, le OFFTA dédie une partie de sa programmation à la création autochtone. Au Monument National se joue Tsekan, des Productions Onishka fondées par Emilie Monnet.
La pièce de Jean-Philippe Baril Guérard, présentée dans le cadre du OFFTA, interroge la possibilité que les machines nous remplacent.
François vit avec Mathilde, ils s’aiment et pourtant ça ne se passe pas bien entre eux. Manifestement Mathilde voudrait que François change. Elle lui demande d’être ce qu’il n’est pas et surtout ce qu’il n’a jamais été, pas même quand ils se sont rencontrés.
Pour sa nouvelle création, la chorégraphe Ann Van den Broek a choisi un parti-pris radical: plonger la scène et ses danseurs dans un noir quasi complet, les éclairant seulement d’une lampe de poche.
Produit par…Les Improduits, l’événement a lieu environ deux fois par année. L’idée d’ImproCirque est de proposer une nouvelle manière de présenter du cirque contemporain, de découvrir ses disciplines et ses artistes en tous genres.
Bigico est spécialisé dans la diffusion de la gigue contemporaine. Pour rappel, la gigue est cette danse traditionnelle rapide principalement exécutée avec les pieds et d’origine irlandaise. Elle est arrivée au Québec avec l’immigration, un peu comme le tap-dancing aux États-Unis. Aujourd’hui, il existe une gigue « contemporaine » dont Bigico, à l’initiative de Lük Fleury son directeur, se fait le représentant en participant à sa reconnaissance, son développement et son excellence.