Sans être le meilleur port PC qu’on ait vu, cette adaptation de Marvel’s Spider-Man 2 est somme toute plutôt réussie et elle vaut le détour, pourvu que votre machine soit assez performante.
Auteur/autrice : Louis-Gabriel Parent-Belzile
Ceux qui ne cherchent pas à combler un vide après avoir fait le tour du jardin dans d’autres jeux de gestion de colonie – qui ont majoritairement le défaut d’être trop répétitifs à partir du moment où on les maîtrise – pourraient tout de même vouloir attendre la version finale de Norland, au terme de l’accès anticipé, pour y jouer.
Ghost of Tsushima n’est pas demeuré exclusif aux consoles de Sony pendant quatre ans sans raison. C’est l’un des meilleurs jeux de sa génération. Le genre qui aide à vendre une console. Ses créateurs ont su puiser çà et là de bonnes idées qui se complètent et qui s’imbriquent dans un tout unique, sculpté avec passion. Le résultat est proche du sans-faute.
Dans l’ensemble, Tennis Manager 2024 est un meilleur jeu que la majorité de ses concurrents directs dans le marché des simulations de management sportif, mais pas forcément au point de s’imposer comme une des références du genre, outre sur le plan graphique.
Les joueurs en quête d’un nouveau Blasphemous risquent de rester un peu sur leur faim malgré d’abondantes similitudes, mais pourront assurément y trouver leur compte s’ils se tiennent pour dit qu’il vaut mieux réviser un tantinet leurs attentes.
Les comparaisons de certains critiques avec l’incontournable Hades (Supergiant Games) sont généreuses; le calibre n’est pas le même, mais nul besoin de mettre la barre si haut lorsque le plaisir est au rendez-vous.
Il est difficile de recommander SpellForce: Conquest of Eo aux amoureux de 4X, qui ont tendance à être exigeants. Si vous cherchez davantage à vous imaginer magicien, en revanche, vous y trouverez une belle opportunité.
Le mélange d’exploration, de mini-jeux, de commerce et de survie, sur un fond résolument inspiré des histoires d’horreur maritimes de H.P. Lovecraft, forme un tout fort bien ficelé qui sait accrocher comme un hameçon.
Incarner un cultivateur montre la complexité de ce métier, mais sans empêcher le jeu d’être un jeu. Un équilibre très loin d’être atteint par tous les simulateurs.
Vendu pour une dizaine de dollars de moins que son prédécesseur, Marvel’s Spider-Man : Miles Morales se contente principalement de prolonger l’expérience qu’est Marvel’s Spider-Man sans chercher à révolutionner quoi que ce soit, ce qui est décevant.