Quatre histoires. Quatre époques. Quatre destins liés de près et de loin. Avec son roman jeunesse Prophéties, Isabelle Larouche nous transporte dans un univers se promenant entre le réel et le fantastique. Endroit où le surnaturel nous ouvre les yeux sur le monde. Est-ce que la magie sauvera le monde? Demandez à cette dame.
Auteur/autrice : Kim Benoit-Lapointe
Le désert, pièce écrite par Olivier Sylvestre, nous plonge dans un univers de poésie où la dépendance se situe au centre de l’oeuvre. Avec une mise en scène intimiste, dans la petite salle du Théâtre Prospero, le comédien et metteur en scène Frédéric Sasseville-Painchaud nous livre un témoignage poignant d’un homme en état de manque faisant face à ses démons.
Pour son premier roman jeunesse, Amélie Panneton nous offre Comme une chaleur de feu de camp. Ce roman, avec son ambiance folk et réchauffante, nous transporte dans le quotidien d’une jeune adolescente confrontée à plusieurs réalités de la vie. Une lecture qui plaira certainement aux jeunes de 14 ans et plus et aussi, à ceux qui ont un faible pour les romances d’été.
C’est avec son tout dernier roman, Maxime, que Sarah-Maude Beauchesne clôt sa populaire trilogie. Entamée en 2014 avec Cœur de slush suivi de Lèche-vitrines, elle décide de mettre fin à un important chapitre de sa vie: celui de l’adolescence.
C’est avec une création audacieuse d’Olivier Arteau que le théâtre Denise-Pelletier ouvre sa saison 2017-2018. Dans une langue crue, violente et cynique, le Théâtre Kata nous présente Doggy dans gravel, pièce qui ne peut laisser personne indifférent. Olivier Arteau nous dresse le portrait plus grand que nature d’une génération internet désirant passer (trop vite?) vers l’âge adulte. Le tout enrobé d’une toile de fond digne d’un vidéoclip de notre popstar américaine préférée diffusé sur MusiquePlus.
Le sujet central du roman Le parfum de l’hellébore, écrit par Cathy Bonidan, est loin d’être facile et léger, mais il est empreint d’une grande humanité et d’une ouverture d’esprit fascinante. Dans ce roman lumineux et plein d’espérance, les destins de chacun vont se croiser, entre mélancolie et espoir.
C’est dans un univers étrange, inquiétant et même sordide que Mariana Enriquez nous transporte avec Ce que nous avons perdu dans le feu.
« Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes »; il pourrait s’agir ici de la phrase centrale du dernier long métrage d’Olivier Asselin, Le Cyclotron.