Venom: Let There Be Carnage est un foutoir aussi indescriptible que son prédécesseur, ce qui respecte à sa manière le style qu’on avait mis de l’avant dans le titre précédent.
Auteur/autrice : Jim Chartrand
Jim Chartrand
Jim Chartrand est bachelier de l'Université de Montréal en Études cinématographiques. Il gère également un département Superclub d'une succursale Vidéotron. Et il adore la culture avec le plus grand C que vous pouvez imaginer. En fait, s'il n'avait pas autant de fatigue de sa sage vie remplie, il consommerait encore davantage de ces nombreuses drogues de l'art et du divertissement pour mieux vous en parler. Puisque avouons-le, rien ne lui fait plus plaisir que de conseiller et guider les autres, même si ses avis ne font pas toujours l'unanimité. Il se fait donc un plaisir semaine après semaine de vous offrir des textes sur tous plein de sujets qui le passionnent entre un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, et...
Le plus récent film de la saga Marvel s’intéresse notamment au sentiment de déracinement des immigrants, et plus d’être le premier long-métrage avec un superhéros asiatique.
Mariana Mazza délaisse les sketchs pour plonger carrément dans la fiction dans un film dont le rôle titre a été spécifiquement écrit pour elle.
Ryan Reynolds se commet dans ce film trop ambitieux pour son propre bien.
En souhaitant rendre hommage à l’iconique Aretha Franklin, Respect s’avère un film trop sage et convenu pour un personnage aussi important.
Le réalisateur Eoin Macken adapte le roman du même nom de Rob Doyle.
Le film représente une nouvelle étape dans la représentation des femmes d’action au grand écran.
Promising Young Woman tombe dans le piège de la nécessité en misant énormément sur l’importance de ses thématiques.
Il ne faut pas s’attendre au nouveau (500) Days of Summer en écoutant Long Weekend, qui s’amuse allègrement avec la romance indie, mais n’en déplaise à un revirement saugrenu et décidément inattendu qui est à prendre ou à laisser, il y a quand même assez de charmes pour se laisser un peu berner.
Scott Adkins poursuit la longue tradition des acteurs physiques forts prolifiques qui multiplient les projets qui ne sont que des excuses pour en mettre plein la vue. On pense aux Seagal, Van Damme et autres Schwarzenegger. Dommage, alors, que ce qui aurait pu être sa proposition la plus ludique et déjantée est tout simplement insupportable.
