Au final, The Bad Guys satisfait beaucoup de par la fraîcheur et la maturité qu’il apporte à un genre qu’on a trop souvent l’habitude d’infantiliser.
Auteur/autrice : Jim Chartrand
Disons que côté divertissement estival, on aura trouvé plus réjouissant, n’en déplaise au talent dont on est néanmoins témoin.
Jurassic World Dominion en offre alors beaucoup. Beaucoup trop pour certain, beaucoup trop peu pour d’autres. Oui, c’est un foutoir, mais qui s’amuse de faire la job sans nécessairement se prendre trop au sérieux et en semblant savoir exactement ce qu’il est.
Babysitter s’écarte, s’égare, explore et remet en question tout en se remettant lui-même en question.
Top Gun : Maverick est donc un film d’une impressionnante élégance. Une suite respectable et honorable par sa sincérité (pas de fonds verts ici), d’une expertise technique qui en met plein la vue, mais qui manque peut-être de ce je-ne-sais-quoi pour l’élever davantage.
Kooza est donc l’esquisse d’un rêve. L’essence d’un spectacle jadis synonyme de perfection qui souffre aujourd’hui du jeu des comparaisons, tout comme du poids du passé.
Take Me to the River s’avère une excellente surprise qui ne ménage pas son caractère hautement instable et imprévisible.
Tout le monde a certainement très hâte de renouer avec ce synonyme indéniable de bonheur et de plaisir, avec un spectacle tout désigné pour renouer pleinement avec la culture.
Marry Me est donc une œuvre classique, décidément, mais juste assez soignée et conscientisée pour s’élever au-dessus de bon nombre de productions du genre, dont certaines sont décidément très oubliables.
Doctor Strange in the Multiverse of Madness représente un certain miracle : soit d’arriver à ne rien faire de satisfaisant autant avec le talent réuni que les possibilités qui lui étaient offertes et ce, pratiquement sur un plateau d’argent.